Je désire louer Dieu en exprimant ma gratitude pour une guérison que je dois à la Science Chrétienne.
En 1945, vers la fin de l'été, mon fils fut très malade. L'on diagnostiqua une stomatite ulcéreuse et pendant six semaines environ l'on nous défendit tout contact avec d'autres personnes. Durant les premiers jours de sa maladie, quand je le soignais ou lui donnais à manger, j'avais tellement pitié de lui que les larmes coulaient sur mes joues.
La chose me paraissait si réelle que bientôt je la manifestai moi-même. La praticienne vint plusieurs fois chez nous et bien entendu nous pouvions toujours l'atteindre par téléphone. La crainte que nos dents ne tombent ou ne deviennent branlantes, comme le prévoyaient les lois matérielles, fut surmontée grâce à ces versets de la Bible (Ps. 34:21): « Il protège tous ses os; aucun ne sera brisé; » et (138:8): « L'Éternel achèvera ce qu'il a commencé en ma faveur. » Nous étudiâmes bien des passages de Science et Santé, par Mrs. Eddy, et surtout ces mots qui figurent dans sa définition de la substance, à la page 468: « La substance est ce qui est éternel et incapable de discordance et de décomposition. »
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