C'est avec un sincère et profond sentiment de gratitude envers Dieu que j'écris ce témoignage. Il y a environ trente ans que la Science Chrétienne me fut présentée et je commençai tout de suite à fréquenter les cultes. Ma première guérison se produisit lorsque je mis à l'épreuve les choses entendues à l'église. Pendant des années j'avais pris tous les soirs un laxatif. Je résolus de cesser cela, de voir ce qui arriverait et si la Science Chrétienne disait vrai. Ayant remis la chose entre les mains de Dieu, je n'y pensai plus du tout durant trois jours. Le quatrième jour, je compris que ma guérison était radicale, permanente. A cette époque-là, je ne savais pas comment elle s'était produite, mais plus tard je me rendis compte que je m'étais inconsciemment mis d'accord avec ce qui est dit dans l'oraison dominicale (Matth. 6:10): « Que ta volonté soit faite. »
Parmi les nombreux maux dont je fus guéri par l'étude et la mise en pratique de la Science Chrétienne, je citerai des fièvres, la grippe espagnole et une pneumonie double. Pendant des années j'avais pris toutes sortes de remèdes pour combattre les rhumes qui ne me quittaient pas. Ils furent guéris en Science, ainsi que des crises de mélancolie qui duraient plusieurs jours, un sentiment d'infériorité et l'habitude de fumer, déjà ancienne chez moi. Lorsque des accidents se sont produits, la tendre protection de Dieu me fut prouvée. Dans certains cas, la guérison s'accomplit avec l'aide de praticiens dévoués.
J'étais employé dans une pharmacie, ce qui constituait un problème. A deux reprises je voulus adopter une autre occupation; mais comme ma foi n'était pas assez ferme, je reprenais bientôt mon ancien travail. Finalement, je m'établis à mon compte, devenant propriétaire d'une droguerie; mon commerce marchait bien et pourtant je ne me sentais pas libre. A cette époque je fis en Science un travail systématique, sérieux et sincère, qui me montra plus clairement mon rapport avec Dieu. M'attachant toujours au vrai concept des affaires, je fus bientôt conduit à transformer mon magasin en bazar, renonçant à vendre des drogues où à exécuter des ordonnances. Quelque temps après, en examinant mes comptes, je vis à ma grande surprise que cette branche de mon commerce avait été déficitaire. Désormais je me sentis plus libre; le magasin me prit moins de temps et je pus davantage étudier et mettre en pratique les vérités de la Science Chrétienne.
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