Il semble actuellement que, dans tous les milieux, religieux ou non, on soit préoccupé par la question de la guérison.
Les récits bibliques, à cet égard, sont formels: c'est la puissance de Dieu qui guérit. Les Israélites au désert, mordus par les serpents brûlants, sont guéris par la foi en l'Éternel, qui ordonne de « regarder au serpent d'airain » (Nom. 21). Les prophètes Élie et Élisée ressuscitent des morts par la foi en la puissance de l'Éternel (I Rois 17, II Rois 4). Dans les Évangiles, nous voyons Jésus guérir par l'imposition des mains tous les malades qui lui sont présentés (Marc 6:5 et 7: 32, Luc 4:40 et 13:13, etc.), montrant ainsi que pour lui la maladie est contraire à la volonté de Dieu. Quand Jean-Baptiste, dans sa prison, en vient à douter de la messianité de Jésus et envoie ses disciples interroger celui-ci, Jésus, en guise de réponse, leur fait constater les diverses guérisons qu'il a accomplies, en ajoutant: « L'Évangile est annoncé aux pauvres » (Matth. 11:5)...
Après sa résurrection et son ascension,... à Jérusalem, dans la Samarie et en terre païenne, à Césarée comme à Antioche de Syrie, la puissance du Seigneur se manifeste par des guérisons, celle de l'impotent par Pierre et Jean (Actes 3), nombreuses guérisons opérées par le diacre Philippe (8:4–8), guérison d'Énée et résurrection de Dorcas (9:31–43), guérison du paralytique de Lystre par le ministère de Paul (14:8–20), etc...
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