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Depuis que j’entendis parler de la Science Chrétienne, en 1926, j’ai eu...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 1945


Depuis que j’entendis parler de la Science Chrétienne, en 1926, j’ai eu bien des sujets de reconnaissance.

Une de mes premières guérisons fut celle de la nervosité et de la timidité, quand je faisais de nouvelles connaissances. A mon insu cette gêne me quitta graduellement, et j’en suis parfaitement libéré. Je n’ai jamais été sérieusement malade, mais plusieurs fois la Science Chrétienne m’a guéri de maux sans gravité. Dans un cas la guérison fut instantanée, ce qui m’aida beaucoup. Elle se produisit un soir; j’assistais à une réunion de témoignages à l’Université de Cambridge, en Angleterre, car j’appartiens au Groupement Scientiste Chrétien de cette université. Le culte venait de commencer lorsque je me sentis mal. Quand on chanta le dernier cantique, je pouvais à peine me tenir debout, mais à la fin du culte je réussis à marcher jusque dans une autre salle, où je tombai comme une masse. J’avais des maux de cœur. Le même soir, après la réunion, je devais assister à une assemblée que je tenais beaucoup à ne pas manquer, mais l’entendement mortel me suggéra que je ne pouvais m’y rendre puisque je gisais sur le plancher. Immédiatement je me posai cette question: « Où suis-je en réalité? » La réponse vint tout de suite: « Tu te reposes dans l’Entendement divin. En vérité tu es une idée parfaite de l’Entendement divin. » A l’instant même, tous les malaises disparurent; je me relevai et une minute plus tard j’étais dans la salle où devait avoir lieu l’assemblée, et je me sentais parfaitement bien.

Une des choses dont je suis le plus reconnaissant, c’est la certitude que tous les problèmes, quelle qu’en soit la nature, peuvent être résolus par la Science Chrétienne.

Un été pendant les vacances, je fis du camping avec des amis. Après avoir parcouru l’Europe centrale en automobile, nous arrivâmes vers la fin de l’après-midi au col du Stelvio, en Italie, tout près de la frontière suisse. Quand nous parvînmes à l’endroit le plus élevé, il faisait déjà sombre, et comme il paraissait peu sage de suivre dans l’obscurité une route en lacets, nous décidâmes de camper. Nous étions à deux mille huit cents mètres d’altitude. J’étais légèrement vêtu et bientôt je me mis à trembler de froid. J’ouvris comme au hasard le livre de texte Scientiste Chrétien, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, et après avoir lu un paragraphe je tombai sur cette phrase (p. 374): « La chaleur et le froid sont des produits de l’entendement mortel. » Je vis que comme idée spirituelle de l’Entendement, l’homme n’est pas plus sujet à la température que ne le serait une idée mathématique, par exemple deux fois deux font quatre. Lorsque je repris conscience de mon entourage, je me sentais bien, et au cours de la nuit je ne souffris pas du froid; pourtant l’eau que nous avions mise dans un seau se trouva n’être qu’un bloc de glace le matin.

Depuis la guerre, la Science Chrétienne m’a plusieurs fois aidé dans ma tâche d’officier. Dans un certain cas, on me dit d’aller à la ville où mon unité devait se rendre le jour suivant et de voir quels arrangements l’on avait faits pour loger les hommes pendant une nuit. Il s’agissait d’environ cinq cents soldats. J’appris qu’un officier supérieur avait déjà consacré toute une journée à ce problème sans trouver aucune solution; mais je sentis que le divin Amour pourvoirait à nos besoins. Je commençai de faire mon travail en Science Chrétienne, et bientôt cette pensée me vint: la police avait peut-être réservé des logements pour les civils que les bombes chasseraient de chez eux. Je me rendis au poste de police et je demandai qu’on voulût bien, cas échéant, prêter ces locaux à mon unité pour une nuit, à condition que si la population civile en avait besoin, nous en sortirions immédiatement. Deux heures plus tard la police avait trouvé pour les cinq cents hommes des logements qui firent parfaitement notre affaire.

J’éprouve une grande reconnaissance envers Mrs. Eddy, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, et envers ses premiers élèves qui furent les pionniers de notre mouvement.

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