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Le Christ Jesus a détruit la Mort!

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1944


La cruelle, l'impitoyable main du « dernier ennemi » — selon l'expression biblique — a-t-elle frappé à la porte de votre maison? Le témoignage des sens prétend-il sans relâche que dans votre vie la lumière s'est éteinte, que désormais votre existence sera terne et sans joie? Au cœur affligé, cette promesse tonique, encourageante, que nous donne Ésaïe le prophète devrait être aussi douce que la pluie tombant sur un sol brûlé: « L'Éternel va consoler Sion: il va consoler toutes ses ruines... On entendra au milieu d'elle les cris de joie et d'allégresse, les actions de grâces et le chant des cantiques. » Dans ce passage, la Bible anglaise emploie le mot « réconforter, » dont la racine est le latin fortis; nous avons ainsi la notion de force, et nous entrevoyons le fait que le vrai consolateur devrait apporter non seulement la paix et le soulagement, mais aussi l'aide qui fortifie.

Le monde a connu bien des consolateurs. Les saints hommes d'autrefois, tels qu'Ésaïe, ont au cours des siècles aidé plus de personnes qu'on n'en peut compter: avec une foi simple et profonde, ils détournent les hommes du matérialisme, ils leur apprennent à chercher dans l'Esprit le réconfort et le soutien. Dans des cas innombrables, les hymnes de David, pleins de courage et de foi, ont élevé la pensée. Mais quel prophète pourrait-on comparer au grand Maître, au Christ Jésus, qui non seulement réconfortait les affligés, mais guérissait les malades et ressuscitait les morts? Dans une de ses lettres à Timothée, l'apôtre Paul parle de Jésus comme de celui qui « a détruit la mort. » Ces paroles sont catégoriques. Les croyons-nous? Le chrétien devrait se poser cette importante question. Ici se présente quelquefois une objection spécieuse: Mais le Maître a-t-il pu détruire la mort, puisque nous la voyons et que nous semblons la subir?

Examinons un instant le concept ordinaire de la mort. On peut le résumer en ces termes: la cessation de l'existence. Or s'il est un enseignement de Jésus qui soit fort net et qu'il ait démontré sans conteste, c'est qu'il n'y a pas de mort — si ce terme désigne l'extinction ou l'annihilation de l'homme. Dans plusieurs cas — la fille de Jaïrus, le jeune homme de Naïn, Lazare — Jésus rendit à ceux qu'on croyait morts la conscience et l'activité normale, parce qu'il reconnaissait l'Être éternel, indestructible. Aurait-il pu ressusciter ces personnes si la vie avait été anéantie? La preuve suprême que donna notre grand Modèle, ce fut sa propre victoire sur la mort et le sépulcre.

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