Bien des gens — sommes-nous peut-être du nombre?— ont coutume de croire que leurs ennuis, leurs infortunes, leur affliction, même leurs maladies et leurs péchés, sont dus aux pensées ou aux actes d'autrui, aux circonstances, au milieu dans lequel ils se trouvent. L'observation nous fait voir cette tendance, qui représente une faute bien plus grave qu'on ne le croit généralement.
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