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[L'original de ce témoignage est en français]

Pour moi, ce que je vais raconter prouve d'une manière irréfutable...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1938


Pour moi, ce que je vais raconter prouve d'une manière irréfutable l'exactitude de ces paroles: « La détresse de l'homme est l'opportunité de Dieu. » Je ne me lasserai jamais d'exprimer l'infinie gratitude dont mon cœur déborde au sujet de la Science Chrétienne et des extraordinaires bienfaits que j'en ai reçus.

Nous étions ma famille et moi dans le dénuement le plus complet. N'ayant plus de logement, plus de crédit et une mauvaise réputation, j'étais résolu à tenter un mauvais coup pour sortir de cette misère. J'avais jeté mon dévolu sur un établissement de notre ville, décidé à le cambrioler! Mais je puis dire avec reconnaissance que par l'intermédiaire d'un ami Scientiste, qui me conseilla de consulter un praticien, j'eus le bonheur de m'approcher de la vérité. Ce praticien m'aida à comprendre ce qu'est l'homme, et je sortis de sa maison l'esprit apaisé et le portemonnaie garni d'une petite somme me permettant de faire face aux besoins les plus urgents.

Quelques jours plus tard, il m'était offert une situation inespérée; mais j'oubliai vite que je devais tout cela à Dieu, à la Science Chrétienne et au travail du praticien. Un an plus tard, je fus de nouveau réveillé, cette fois d'une terrible façon. Depuis ce jour, les démonstrations se suivent avec une telle rapidité que bien malgré moi je me suis voué de tout mon cœur et de toutes les forces de ma pensée à l'étude de la Science Chrétienne.

Je sortis de cette nouvelle épreuve avec un peu plus de compréhension spirituelle et je fus guéri en quelques minutes de l'esclavage du tabac, contre lequel j'avais souvent lutté avec les armes matérielles, c'est-à-dire avec des produits pharmaceutiques et la volonté humaine. Et souvent je dis que pour une fortune je ne fumerais plus une cigarette, ne serait-ce que par reconnaissance pour la façon merveilleuse dont j'ai été guéri.

J'ai également abandonné toute boisson alcoolique. J'avais été un grand joueur, et c'est une véritable fortune que je laissai sur les divers hippodromes parisiens. Mais grâce à la Science Chrétienne et par son étude, j'ai abdiqué sans aucune difficulté le faux sens qui dit: « Qui a bu boira, qui a joué jouera. » J'ai été guéri en quelques jours et sans aucune douleur d'un accident assez grave au majeur de la main droite. Une carie dentaire avancée, une bronchite chronique, une angine et d autres maux ont aussi ete guéris.

En juin 1934, je dus quitter mon pays et je me rendis à Paris avec ma famille, sans situation, à une époque apparemment des plus défavorables, et presque sans argent. Pendant huit jours je cherchai du travail, faisant appel à toutes les connaissances ou relations que j'avais, mais en vain. Las et découragé, je résolus de demander de l'aide à une praticienne, et si invraisemblable que cela puisse paraître, en quelques heures je trouvai deux emplois: l'un pour le premier octobre (nous étions à fin juin) dans une administration publique où la première qualité requise était d'être Français, et je suis Suisse; l'autre pour un remplacement de trois mois dans un atelier où cet emploi avait été créé spécialement pour moi. Devant des faits semblables, et très facilement contrôlables, n'y a-t-il pas de quoi rester émerveillé, mais surtout infiniment reconnaissant pour la grande bonté de notre Père-Mère Dieu et l'extraordinaire puissance de la Science Chrétienne?

Le séjour que je fis alors à Paris dura quinze mois et me donna l'occasion de comprendre ce qu'est la Science Chrétienne et ce que nous sommes. Aucune parole ne pourra jamais exprimer la gratitude que j'éprouve envers la praticienne dévouée qui inlassablement, avec un amour que seul l'Amour divin peut donner, m'aida avec patience et désintéressement et me conduisit dans la vérité.

Pour terminer je citerai encore une magnifique démonstration de la bonté, de la puissance et de l'amour de Dieu. Je crois que la plus épouvantable maladie morale que puisse avoir un être humain est la jalousie; j'ai passé par toutes les phases de ce terrible cauchemar moral. Me trouvant fortement tenté, je me rendis chez un praticien qui me donna tout de suite un traitement, et je fus guéri pour toujours de cette effroyable jalousie. J'avais compris que seul un attachement matériel peut vous mettre dans de pareils états, et qu'en réalité le seul attachement que nous puissions avoir est spirituel et non matériel.

J'ai aussi le grand privilège et le bonheur de pouvoir, dans la mesure de mes capacités, aider au magnifique mouvement de la Science Chrétienne, comme membre de L'Église Mère.

Au Dieu tout-puissant, au Christ Jésus, à notre vénérée Leader, aux chers praticiens et praticiennes, à tout ce qui de près ou de loin touche à la Science Chrétienne, vont ma reconnaissance infinie et mes pensées d'éternelle gratitude Aux chers amis qui m'ont fait connaître cette merveilleuse Science de Vie et de Vérité, j'exprime ici l'assurance de mon profond dévouement et une très grande reconnaissance.

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