Certaines qualités nécessaires pour qui veut servir le genre humain en travaillant comme garde-malade Scientiste Chrétienne sont indiquées par Mary Baker Eddy, notre révérée Leader, dans ce passage de Science et Santé (p. 395): « Une personne revêche, grognon, ou fausse, ne devrait pas être garde-malade. La garde devrait être gaie, ordonnée, ponctuelle, patiente, pleine de foi,— susceptible de recevoir la Vérité et l'Amour. » Notre Leader dit aussi, dans le Manuel de L'Église Mère (Art. VIII, Sect. 31): « Les membres de L'Église Mère qui se donnent comme gardes-malades de la Science Chrétienne devront avoir une connaissance démontrable de la pratique de la Science Chrétienne, posséder à fond la sagesse pratique requise dans une chambre de malade et savoir bien soigner les malades. »
Observer ces instructions d'une manière stricte et consciencieuse représente une obligation morale à laquelle ne peuvent se soustraire ceux qui sont appelés à servir en qualité de gardes-malades. Dans son amour et sa grande sagesse, notre Leader a prévu cette activité qu'elle tenait pour nécessaire: c'est là pour toutes les personnes en cause — patients, praticiens ou gardes-malades — un sujet de reconnaissance et d'amour.
Le travail d'une garde-malade doit toujours reposer sur l'amour de Dieu et de l'homme. Les gardes qui avant d'étudier la Science Chrétienne, soignaient déjà des patients, ont eu mainte occasion de se convaincre que les remèdes matériels sont insuffisants, inefficaces. Elles doivent donc être prêtes à rompre avec les connaissances matérielles inutiles et leurs arguments. Mais elles peuvent conserver tout ce que l'expérience a dû leur apprendre sur « la sagesse requise dans une chambre de malade. »
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