Je suis très reconnaissante du privilège d'avoir connu la vérité. J'étais malade et alitée lorsqu'une chère amie me parla de la Science Chrétienne. Le praticien qui me traita m'expliqua ce qu'est le Christ, cette glorieuse Vérité, et je lui en suis profondément reconnaissante. Alors, j'étudiai le livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. La guérison fut lente, car le doute entravait mes progrès.
A l'âge de sept ans j'eus les poumons malades. Dès lors, je souffris fréquemment de violentes crises d'asthme au point que, ne pouvant dormir pendant la nuit, je devais passer la nuit entière assise sur mon lit, où elles me retenaient chaque année en automne et au printemps. Le moindre refroidissement m'irritait aussi d'autres organes. Docteurs et spécialistes firent tout ce qu'ils purent pour me soulager, mais ils échouèrent. “Le mal est chronique” me répétaient-ils. “Nous pouvons l'atténuer, cepandant nous n'arriverons jamais à le guérir.”
C'est dans cet état que me trouva cet heureux message de la Science Chrétienne: Dieu est Amour. Il ressemble à une lumière luisant dans la nuit enténébrée, une lumière qui perce tous les nuages — maladie, souffrance — pour faire place à la perfection et à l'harmonie qu'elle révèle.
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