S'il fallait un précédent scripturaire pour justifier l'établissement du sanatorium de l'Association de Bienfaisance de la Science Chrétienne, on le trouverait dans le dixième chapitre de saint Luc, où il est dit qu'un certain homme était tombé entre les mains de brigands “qui le dépouillèrent et qui, après l'avoir couvert de blessures, s'en allèrent, le laissant à demi mort. ” Il est dit de plus qu'un Samaritain, qui était en voyage, lui donna aussitôt le secours à sa portée, le mena à l'hôtellerie (lieu de refuge), et recommanda qu'on lui donnât les soins nécessaires, prometant aussi de rembourser à l'hôtelier toute dépense qu'il pourrait avoir à faire en plus de ce qu'il lui remettait.
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