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Je désirerais exprimer ma reconnaissance à la Science Chrétienne, car...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 1929


Je désirerais exprimer ma reconnaissance à la Science Chrétienne, car elle a été et elle continue à être d'un grand secours pour moi et pour les miens. Je connais la Science Chrétienne depuis trois ans et demi. Pendant cette période elle a aidé à notre famille en diverses occasions. Nous y avons eu recours pour des guérisons morales et physiques, et cela n'a jamais été en vain.

Toutes les mères me comprendront quand je dirai le soulagement que j'ai éprouvé de savoir, en prenant soin de nos deux jeunes enfants, qu'il y a une aide toujours accessible. Je me suis débarrassée d'une foule de craintes de toutes sortes, dont certaines étaient absurdes, d'autres, selon l'entendement humain, légitimes, et qui, je l'imagine, assaillent toute maman dans la routine quotidienne des soins à donner à l'enfance. Un hiver, nos deux fillettes ont guéries en deux jours de la grippe et d'une bronchite, à la suite de deux traitements. Cette guérison était particulièrement remarquable dans le cas de l'aînée qui était sujette, étant toute petite, à des crises de bronchite qui duraient trois semaines. Cet hiver-là, elle en eut une qui menaçait d'être très grave. La première nuit les symptômes étaient alarmants, et je faillis laisser entrer la peur dans ma pensée. Mais je résolus de ne rien craindre et de n'appliquer aucun remède matériel. Relayée par mon mari, je travaillai au chevet de l'enfant toute la nuit, et le matin elle allait un peu mieux. Je demandai l'aide d'une praticienne, et au bout d'une semaine l'enfant était guérie.

J'aimerais parler d'un exemple remarquable du bien que la Science Chrétienne a produit indirectement. Une domestique chez nous tomba malade. Comme elle n'est pas Scientiste, elle demanda les soins d'un médecin. Ce dernier déclara que c'était une scarlatine très bénigne, mais qu'il fallait prendre les mêmes précautions que dans un cas très grave, étant donné la possibilité de la contagion. Je soignai la malade moi-même, comprenant qu'il ne pouvait rien m'arriver de fâcheux, et je demandai à une praticienne de nous traiter en tant que famille, pour nous préserver de la croyance à la contagion. Au bout de dix jours, le médecin déclara que la patiente pouvait aller en convalescence dans sa famille à la campagne, mais qu'elle devait y rester un mois, pour que la période de contagion se passe. Au bout de ce temps elle revint et me dit que les suites habituelles de la scarlatine ne s'étaient pas manifestées. Nous considérons ce résultat comme une nouvelle preuve de l'efficacité préventive de la Science Chrétienne. En cette circonstance, quoiqu'elle ne reçût pas de traitement, la malade bénéficia indirectement de la pensée juste que nous avons eue à l'égard de la maladie.

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