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Me rendant compte de quelle grande utilité m'ont été les témoignages...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1927


Me rendant compte de quelle grande utilité m'ont été les témoignages de guérison qu'effectua la Science Chrétienne, je voudrais parler d'un cas où la chirurgie mentale a été efficace.

En arrivant à notre maison située sur une colline assez élevée, j'essayai de me servir du frein pour arrêter l'auto que je conduisais, mais il ne voulut pas freiner. La machine descendit la colline à fond de train. Mon fils, qui était sur le trottoir et qui avait vu l'embarras dans lequel je me trouvais, se mit à courir, sauta sur le marchepied et essaya de conduire tandis que je serrais fortement le frein de rechange. Il évita ainsi notre chute d'un talus d'une hauteur de vingt-cinq pieds; mais, à un autre de six pieds, la voiture tomba et capota sur les rails d'un tramway. Mon fils me dit: “Es-tu blessée, maman?” “Non,” lui répondis-je, “et toi?” “Non,” dit-il. Je sortis par la fenêtre à l'avant et, voyant arriver un tramway, j'allai lui faire signe de s'arrêter. Lorsque je revins mon fils était encore sous l'auto. Il semblait que la porte s'était ouverte, que son pied était pris dans le coin et que son talon était à moitié disjoint.

Trios hommes le portèrent à la maison et, après l'avoir confortablement installé au lit, ils offrirent de téléphoner à un chirurgien. Mon fils répondit: “Nous sommes des Scientistes Chrétiens.” J'ajoutai: “Notre Médecin est ici.” Je lui pansai le talon, déclarant sans cesse la vérité, et je cherchai sincèrement à me rendre compte que la vie de l'homme est en Dieu et qu'elle est par conséquent indestructible. Au bout d'une semaine, selon le témoignage du sens mortel, la guérison ne semblait guère se produire. La blessure s'étendait depuis la cheville et il semblait qu'elle ne se refermerait plus jamais comme il faut. La putréfaction se déclara, et l'état des choses était peu rassurant. Je refusai de me laisser envahir par la crainte, mais je répétai maintes et maintes fois que Dieu est la seule Vie et qu'“il n'y a pas de mort, pas d'inaction, d'action morbide, de suraction, ni de réaction,” comme Mrs. Eddy le dit aux pages 427 et 428 de Science et Santé avec la Clef des Écritures. Nous répétâmes maintes fois ensemble “l'exposé scientifique de l'être,” qui se trouve à la page 468 du même livre, de plus, l'Oraison Dominicale. Au bout de trois semaines mon fils put circuler à l'aide d'une canne, et en cinq semaines il mit son soulier et alla en ville. Le trou qu'il s'était fait d'un côté du pied se remplit d'une chair parfaitement ferme. Il sentit qu'il avait reçu un grand bienfait lorsqu'il recontra quelqu'un qui avait eu une expérience du même genre et qui lui dit qu'il avait mis toute une année à se guérir.

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