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C'est avec un profond sentiment de gratitude que j'envoie ce témoignage.

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1926


C'est avec un profond sentiment de gratitude que j'envoie ce témoignage. La vérité telle que l'enseigne la Science Chrétienne m'a tirée du découragement, car je pensais ne jamais me rétablir. Au bout d'une semaine de traitements je fus guérie d'un mal qui avait déconcerté les docteurs et la médecine pendant bien des années.

Nous avons eu maintes preuves de guérisons dans notre famille. La première qui s'effectua après mon rétablissement fut celle de notre fillette de cinq ans, qui était très malade de la pneumonie. Nous demandâmes de l'aide à une Scientiste qui habitait une autre ville, car nous étions étrangers dans l'endroit où nous demeurions, et le rétablissement de l'enfant fut si prompt qu'il attira l'attention de beaucoup de gens. L'hiver suivant un autre de nos enfants manifesta la même maladie, et je pus la vaincre en une nuit; le lendemain il était parfaitement remis.

Nous avons habité durant nombre d'années un endroit où il n'y avait personne qui s'intéressât à la Science Chrétienne, et nous ne pouvions assister aux services. Il me serait impossible d'énumérer tous les bienfaits que j'ai reçus; entre autres, la naissance d'un enfant, effectuée sans douleurs. Je ne cesserai jamais de remercier Dieu de nous avoir donné cette révélation de la Vérité par l'intermédiaire de Mrs. Eddy. Une des victoires remportées grâce à la Science Chrétienne surpasse toutes les autres. Notre cadet se cassa la jambe, qui fut mal remise, et au bout de neuf semaines passées à l'hôpital on le ramena à la maison. Le docteur me montra que la jambe cassée avait environ deux pouces de moins que l'autre. Il me dit qu'on n'avait pu l'empêcher. Un jour que j'en parlais à une Scientiste Chrétienne, elle me dit qu'il était de mon devoir de me rendre compte que l'enfant de Dieu est parfait. Aussi me mis-je à travailler sérieusement afin de savoir que les idées de Dieu sont toujours parfaites et qu'elles ne sauraient être séparées de Sa sollicitude. Comme Mrs. Eddy dit à la page 424 de Science et Santé avec la Clef des Écritures: "Sous la Providence divine, il ne peut y avoir d'accident, puisque dans la perfection il n'y a pas de place pour l'imperfection." Je fis ce travail, et maintenant notre garçon marche aussi bien que tout autre. Je suis reconnaissante à tous ceux qui m'ont aidée.

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