Je ne me croyais pas malade lorsque la Science Chrétienne me fut apportée par une affectueuse amie, mais je me rends compte à présent combien j'étais loin d'être harmonieuse, moralement et physiquement, et je suis pleine de reconnaissance pour tous les bienfaits que la Science Chrétienne a apportés dans ma vie. Toute espèce d'erreurs sont venues et viennent encore à la surface pour être détruites, et je suis de plus en plus heureuse à mesure que ma compréhension devient plus grande et que je saisis l'idée de la création spirituelle. Une de mes plus grandes joies a été de comprendre que nous avons la domination sur toute erreur par la purification et la correction de nos pensées mortelles,—“par le renouvellement de notre esprit,” comme le dit St. Paul.
Je suis très reconnaissante, aussi, d'avoir compris que les soi-disant lois matérielles et médicales, qui nous condamnent et nous font peur, ne sont autre chose que le résultat d'apparences répétées que nous présente l'esprit mortel, et que, par la connaissance de la vérité que nous donne la Science Chrétienne, nous pouvons changer le cours de ces apparences et détruire la condamnation. J'ai maintes fois constaté ce fait auprès d'une personne de ma famille qui, bien qu'elle s'intéresse légèrement à la Science Chrétienne, demande toujours à voir un médecin quand elle est malade. Par trois fois les docteurs la condamnèrent: une fois dans une crise d'artériosclérose et d'albumine, une seconde fois pour des calculs biliaires, une troisième fois pour un commencement de tumeur au sein. Chaque fois la Science Chrétienne renversa la condamnation; les symptômes alarmants disparurent complètement, et la malade se trouva guérie — au grand étonnement des docteurs.
J'ai été moi-même guérie très rapidement, il y a quelques années, d'une entorse au pied, et deux fois de la grippe. Il y a quelque temps j'ai aussi été guérie presque instantanément d'une forte brûlure. J'avais renversé sur ma main une casserole d'eau bouillante; et, quoique j'eusse immédiatement nié l'accident, la douleur devint si forte que je dus téléphoner à une praticienne pour de l'aide. Immédiatement je me sentis soulagée, et au bout de deux heures la douleur avait complètement disparu. Jamais je n'oublierai le sentiment de reconnaissance et de joie que j'éprouvai en me réveillant le lendemain matin après avoir passé la nuit paisiblement. J'avais craint de voir une main enflée et en mauvais état, et la trouvai au contraire tout à fait normale. Je pus donc vaquer aux soins du ménage comme à l'ordinaire.
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