Editoriaux
« La pensée dirigée tout entière vers l'accomplissement d'une chose honnête en rend l'achèvement possible, » déclare Mary Baker Eddy à la page 199 de Science et Santé avec la Clef des Écritures. A ce sujet, l'on peut se demander: Qu'est-ce que nous désirons accomplir? Est-ce la victoire sur un péché chronique, une maladie invétérée? Est-ce la guérison d'une habitude fâcheuse? Ou mieux encore, cherchons-nous avec ferveur à connaître Dieu? Cette dernière question est la plus importante.
Notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, nous donne dans Miscellaneous Writings un lumineux article sur Noël, où elle dit (p. 320): « Ce jour intéressant, que couronne l'histoire de l'idée de la Vérité— sa venue, sa nativité terrestres — est spécialement cher au cœur des Scientistes Chrétiens; pour eux l'apparition du Christ dans son sens intégral est des plus précieuses, apportant au genre humain les bénédictions divines.
L'histoire d'une nation repose en majeure partie sur son concept de la loi, qui en est pour ainsi dire la racine. Les peuples recueillent des bénédictions dans la mesure où leurs lois sont bonnes, appliquées avec justice.
Toute personne éclairée voudrait être affranchie des limitations de divers genres. Ce désir est légitime, car l'homme, selon son vrai statut, jouit du bien en abondance, et la liberté sans limites caractérise irrésistiblement son être.
Tous les périodiques Scientistes Chrétiens, le Journal, la Sentinel, les Hérauts, contiennent plusieurs pages de témoignages ayant trait à la guérison spirituelle. Aux réunions du mercredi soir, dans les Églises du Christ, Scientistes, ou les Sociétés de la Science Chrétienne, pendant une partie du culte on donne la parole à ceux qui ont été guéris et régénérés par la Science Chrétienne et désirent exprimer leur gratitude.
Par une belle soirée, un Scientiste Chrétien et sa femme survolaient un désert. L'avion étant très haut, on ne distinguait sur le sol aucun détail, mais on pouvait discerner çà et là, malgré l'ombre croissante, quelque trait saillant du paysage.
Quand Jésus disait avoir existé avant Abraham (Jean 8:58), il faisait allusion au Christ, à son individualité spirituelle, incorporelle, à l'image divine qui coexiste avec Dieu dont elle est l'éternelle manifestation. Ce Christ, le Maître promit, pour notre réconfort, qu'il serait toujours avec nous.
La Société pour l'Encouragement des Connaissances chrétiennes autorisa L'Église Mère, La Première Église du Christ, Scientiste, à Boston, à reproduire dans son Hymnaire un vibrant poème écrit par Arthur C. Ainger; nous y trouvons cette ligne: « Et Dieu poursuit Son plan » (Hymnaire, N° 82).
A La page 220 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mary Baker Eddy déclare: « Les violettes ouvrent leurs yeux bleus pour saluer les premiers jours du printemps. Les feuilles, ces adoratrices inlassables de la nature, battent des mains.
Mary Baker Eddy qui a découvert la Science Chrétienne et fondé le mouvement Scientiste Chrétien, aida beaucoup les humains lorsqu'elle révéla que l'homme est la réflexion de Dieu, car ils peuvent mieux comprendre désormais la nature de l'homme réel et son rapport avec son Créateur. Si l'on saisit cette révélation, l'harmonie et la santé se démontrent invariablement; ceci prouve qu'elle est erronée la croyance d'après quoi l'homme serait une personnalité physique dont la vie dépendrait de la chair, ayant un esprit à soi qui laisserait entrer alternativement le bien et le mal suivant les dispositions de l'individu.