
Editoriaux
A La page 220 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mary Baker Eddy déclare: « Les violettes ouvrent leurs yeux bleus pour saluer les premiers jours du printemps. Les feuilles, ces adoratrices inlassables de la nature, battent des mains.
Mary Baker Eddy qui a découvert la Science Chrétienne et fondé le mouvement Scientiste Chrétien, aida beaucoup les humains lorsqu'elle révéla que l'homme est la réflexion de Dieu, car ils peuvent mieux comprendre désormais la nature de l'homme réel et son rapport avec son Créateur. Si l'on saisit cette révélation, l'harmonie et la santé se démontrent invariablement; ceci prouve qu'elle est erronée la croyance d'après quoi l'homme serait une personnalité physique dont la vie dépendrait de la chair, ayant un esprit à soi qui laisserait entrer alternativement le bien et le mal suivant les dispositions de l'individu.
En Angleterre et en Amérique, maints amateurs de théâtre ont vu jouer une comédie intitulée: « L'Importance d'être sérieux. » Écrite voici plus de cinquante ans, elle est restée au répertoire dans plusieurs théâtres où l'on fait preuve de discernement.
Parce qu'elle établit l'identité de l'homme en tant qu'idée de Dieu, la Science Chrétienne fait disparaître les cicatrices de ce qu'on nomme le passé. La Bible nous dit que Dieu a « les yeux trop purs pour voir le mal » (Hab.
Le traitement par la Science Chrétienne, c'est une prière. Dans sa vie et dans son travail, le praticien de cette Science prie sans se lasser.
Ce qui caractérise vraiment l'amour c'est la bonté, l'absence d'envie et de présomption; « il ne fait rien de malhonnête; il ne cherche pas son intérêt; il ne s'aigrit pas; il ne soupçonne point le mal » (I Cor. 13:5).
Un soir, dans l'autobus, j'entendis la conversation de deux hommes assis derrière moi. La journée était finie, chacun rentrait chez lui.
« Vous tous, habitants de la terre, faites monter vos cris d'allégresse jusqu'à l'Éternel.
La Bible rapporte que Moïse, appelé plusieurs fois dans les saintes Écritures « l'homme de Dieu, » avait cent vingt ans lorsqu'il cessa d'être visible aux humains; elle ajoute que « sa vue n'était pas affaiblie, et sa vigueur n'était pas épuisée » (Deut. 34:7).
Qui ne désire pratiquer ou mettre en œuvre ce qu’il sait? Même en dehors de la Science Chrétienne, l’éducation cherche à nous rendre capables de savoir, puis d’utiliser les connaissances acquises. A plus forte raison, le Scientiste Chrétien doit mettre en pratique la révélation qui lui a été donnée.