Editoriaux
En Angleterre et en Amérique, maints amateurs de théâtre ont vu jouer une comédie intitulée: « L'Importance d'être sérieux. » Écrite voici plus de cinquante ans, elle est restée au répertoire dans plusieurs théâtres où l'on fait preuve de discernement.
Parce qu'elle établit l'identité de l'homme en tant qu'idée de Dieu, la Science Chrétienne fait disparaître les cicatrices de ce qu'on nomme le passé. La Bible nous dit que Dieu a « les yeux trop purs pour voir le mal » (Hab.
Le traitement par la Science Chrétienne, c'est une prière. Dans sa vie et dans son travail, le praticien de cette Science prie sans se lasser.
Ce qui caractérise vraiment l'amour c'est la bonté, l'absence d'envie et de présomption; « il ne fait rien de malhonnête; il ne cherche pas son intérêt; il ne s'aigrit pas; il ne soupçonne point le mal » (I Cor. 13:5).
Un soir, dans l'autobus, j'entendis la conversation de deux hommes assis derrière moi. La journée était finie, chacun rentrait chez lui.
« Vous tous, habitants de la terre, faites monter vos cris d'allégresse jusqu'à l'Éternel.
La Bible rapporte que Moïse, appelé plusieurs fois dans les saintes Écritures « l'homme de Dieu, » avait cent vingt ans lorsqu'il cessa d'être visible aux humains; elle ajoute que « sa vue n'était pas affaiblie, et sa vigueur n'était pas épuisée » (Deut. 34:7).
Qui ne désire pratiquer ou mettre en œuvre ce qu’il sait? Même en dehors de la Science Chrétienne, l’éducation cherche à nous rendre capables de savoir, puis d’utiliser les connaissances acquises. A plus forte raison, le Scientiste Chrétien doit mettre en pratique la révélation qui lui a été donnée.
Dans le plus important chantier de construction navale de la Nouvelle-Angleterre, un ajusteur installait des « couvercles en biais » pour les réservoirs à mazout d’un grand vaisseau, tout au fond de la coque. Il en était au dernier de ces opercules.
Le moindre indice de maîtrise sur une forme quelconque d’inharmonie, de faiblesse ou de limitations, ne nous remplit-il pas de joie? Selon le premier chapitre de la Genèse, la maîtrise est l’apanage primitif de l’homme; sans doute les mortels ont mis en valeur diverses forces matérielles, utilisé d’étonnantes inventions modernes, et par là maîtrisé divers aspects physiques de l’existence; mais n’ont-ils pas encore beaucoup à apprendre et à démontrer concernant l’empire que Dieu leur donne sur le penser pécheur ou maladif, la crainte, les chagrins, les discords — empire constamment à la portée de tout être intelligent? Tel paraît victime de colères qu’il n’arrive point à dominer, tel autre ne peut refréner ses appétits. Celui-ci a peur de manger, celui-là se plaint de ne pouvoir dompter les pensées licencieuses.