L’année dernière, j’ai discuté du conflit à Gaza avec une de mes amies, une étudiante originaire du Liban inscrite dans un programme d’échange. Je n’y avais pas vraiment réfléchi car il y a tellement de débats pour savoir quel côté soutenir, et je ne me sentais pas assez compétente sur le sujet pour en parler.
J’ai envie d’avoir un impact positif sur le monde et de favoriser l’établissement de la paix, mais je ne savais pas ce que je pouvais faire dans le cas de ce conflit, surtout parce que j’en suis très éloignée. Je savais que je pouvais prier pour ces personnes, mais comment savoir si mes prières porteraient des fruits ?
Plus tard dans l’année, j’ai été invitée à une fête chez mon amie. Tous les participants à la fête étaient des étudiants issus du programme d’échange, et j’étais ravie de les rencontrer tous et d’en apprendre davantage sur leurs pays et leurs cultures. Pendant que j’étais là, j’ai remarqué une fille qui était assise, seule. Mon amie m’a dit plus tard que cette fille venait de Gaza. J’ai ressenti une vague d’émotion, y compris la peur, en pensant au conflit et à cette fille. Je ne pouvais pas imaginer ce qu’elle traversait.
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