Il y a quelques années, au beau milieu d’une réunion d’église parlant des aumôniers dans les prisons à laquelle j’assistais, je me suis soudainement sentie très mal et j’ai cru que j’allais m’évanouir. Quand je m’en suis sentie capable, j’ai quitté l’auditorium. Une gentille dame, dans le hall d’entrée, a remarqué que quelque chose n’allait pas et m’a suivie dans les toilettes où j’ai pu m’allonger sur un petit divan.
La dame m’a proposé avec amour de rester à proximité au cas où j’aurais besoin d’elle. Je lui ai dit que je savais que cela pouvait être guéri rapidement. Elle a acquiescé. J’ai mentionné que j’avais l’impression que la pièce tournait. Elle a répondu que Dieu était le centre et la circonférence de mon être.
Elle faisait référence à un passage de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy, qui déclare que Dieu est « à la fois le centre et la circonférence de l’être » (p. 204). C’est un passage que j’avais lu plusieurs fois, mais en y réfléchissant, j’ai réalisé que ma pensée devait être centrée sur Dieu et non sur les symptômes physiques.
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