2024
Paru d'abord sur notre site le 19 février 2024
Lorsque nous nous endormons le soir, nous ne doutons pas que le jour se lèvera le lendemain matin, et cela survient sans aucun effort. De même, nous aussi, émergeons doucement dans la compréhension de l’infinité de l’Esprit parfait.
Paru d'abord sur notre site le 4 avril 2024
J’ai pu acquérir une vision plus large de mon être, de mon histoire et de mon existence, et voir qu’ils n’étaient pas dictés par une image mortelle mais qu’ils étaient maintenus en tant qu’expression permanente de Dieu.
J’ai eu des problèmes d’audition dès l’enfance. Ma mère et mon père priaient avec moi et mon audition s’améliorait pendant un moment, mais le problème revenait ensuite.
Ceux qui recherchent le secours divin peuvent ressentir de manière tangible la présence curative du Christ et déclarer avec assurance : « Je vais bien, et je le sais. »
J’avais considéré cet homme comme victime de l’âge, et moi comme victime d’un accident de ski. Mais aucun de nous n’était une victime. En tant qu’enfants de Dieu, l’Esprit, nous étions tous deux capables de marcher librement et d’exprimer toute la liberté que Dieu nous accorde.
Je savais donc qu’aucune pensée de crainte ou d’appréhension ne pouvait me dominer. Même si je me sentais stressée, je savais quand même que j’étais toujours en sécurité.
« Faire ce que l’on peut », c’est inclure dans nos prières notre quartier, notre localité et le monde ; c’est réaliser que l’on peut changer le cours des événements.
Reconnaître que Dieu est le pouvoir suprême nous permet d’aborder les élections – et leurs conséquences – avec civilité, tranquillité d’esprit et confiance dans le pouvoir du bien.
Je me suis rendu compte qu’il me fallait un œil en bon état, c’est-à-dire une seule façon de voir les choses. Je devais m’en tenir au point de vue de l’Esprit, Dieu, l’Amour, au lieu d’hésiter sans cesse entre le point de vue matériel et le point de vue spirituel.
La culpabilité et l’amertume que je ressentais ont commencé à disparaître lorsque j’ai réalisé que nous sommes tous – même mon agresseur – inclus dans l’Amour, qui est Dieu.