2024

Une solide conviction s’acquiert rarement en s’appuyant d’abord sur un plan humain. Elle exige que l’on se concentre pleinement sur Dieu, qui est une aide présente.

En réfléchissant à cette guérison, je me suis rendu compte que la question « Que ferait Jésus ? » – en d’autres termes « Comment Jésus réagirait-il ? » – peut se poser en toute circonstance.

J’ai vu immédiatement que j’avais le choix : je pouvais accepter la croyance à une blessure et lui permettre de se développer dans ma pensée, ou bien je pouvais la rejeter comme illégitime.

Les différents noms pour désigner Dieu nous aident à mieux Le connaître. Nous ressentons alors que notre Père-Mère Dieu est toujours avec nous, qu’Il prend soin de nous, nous donne de bonnes idées et nous guide dans la bonne direction.

En toute situation, qu’il s’agisse de la terreur de la maladie ou du terrorisme dans le monde, ce simple message : « N’ayez pas peur », nous parvient encore aujourd’hui. C’est plus qu’une injonction ; c’est la voix de la Vérité qui nous dit que nous n’avons pas à avoir peur.

Nous avons l’aide dont nous avons besoin pour vaincre le mal sous toutes ses formes en nous tournant vers Dieu et Son Christ afin d’être guidés, d’être protégés et d’être guéris.

Physiquement, je n’ai ressenti aucun changement immédiat, mais j’avais fait un choix et je savais que je n’allais pas laisser cette décision spirituelle être balayée.

En tant que reflets de Dieu, nous possédons tous des qualités telles que la pureté, la bonté, l’innocence et la sécurité. En reconnaissant ces qualités en nous et chez les autres, nous bénéficions davantage de la protection de Dieu.

Cette confiance dans les ressources certaines qui viennent de Dieu m’a conféré une liberté qui me permet d’être généreuse envers les autres, de soutenir de bonnes causes et de partager la merveilleuse abondance de l’Amour.

J’ai aussitôt compris que l’imperfection n’avait pas été créée par Dieu et que, par conséquent, elle ne pouvait pas être réelle et ne faisait pas partie de moi.