A un moment ou à un autre, chacun de nous a été en mesure de réconforter un ami qui était en difficulté ou en proie au chagrin. Il n’y a pas de règle concernant ce qu’il faut dire ou comment réagir lorsqu’un proche est décédé. Mais quiconque a déjà lutté contre le chagrin occasionné par un deuil s’est demandé : Comment puis-je ressentir et exprimer plus de réconfort, de joie et de compassion ?
Il y a plusieurs années, mon frère est mort sur le coup dans un accident de voiture. Personne ne peut prévoir comment il ou elle réagira à l’annonce d’une telle tragédie. Avec le recul, ma première réaction a été de prier pour comprendre ce qui s’était passé. Et une réponse immédiate à ma prière est venue sous la forme de ce qui ressemblait à une étreinte mentale. C’était comme si l’Amour divin, Dieu, était juste à mes côtés, me faisant savoir que ma famille était environnée d’amour et que mon frère était toujours aimé et protégé, lui aussi.
Mais, au fil des jours, interagir avec les autres est devenu difficile. Aussi bien intentionnée qu’ait été leur préoccupation, je pouvais presque sentir le poids de leur chagrin et de leur pitié me tirer vers le bas. Certaines expressions de sympathie semblaient même impliquer que Dieu avait contribué à la mort de mon frère, ou que sa vie était incomplète.
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