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Sans hésitation, sans me demander s’il pouvait y avoir une cause à cela, j’ai rejeté la possibilité que l’une des idées spirituelles de Dieu, et donc moi, puisse être gouvernée par autre chose que le bien et ce qui est juste.

Notre secrétaire, Laurie Richardson, a informé le Conseil des directeurs de son intention de quitter son poste de secrétaire et de retourner chez elle, dans le Missouri (Etats-Unis). Nous avons tous été vraiment bénis par sa compréhension métaphysique, par son amour évident pour L’Eglise Mère, par sa sollicitude vis-à-vis des membres et par sa direction du secrétariat, à la tête duquel elle a servi au cours des trois dernières années.

J’ai passé un moment à considérer le fait que l’homme est un avec Dieu, comme Jésus l’exprimait dans sa vie et par ses œuvres. Je me suis aussi réjouie du fait que chacun d’entre nous entretient cette même belle relation avec l’unique Père-Mère divin.

J’ai commencé à réaliser que voir la souffrance des autres et ne rien faire pour les aider est loin d’obéir à l’instruction de Christ Jésus, qui est d’aimer notre prochain comme nous-mêmes.

J’aime la Science Chrétienne et j’en ai tellement bénéficié que j’étais vraiment reconnaissante de pouvoir partager avec ma localité ce cadeau qu’est la Science Chrétienne.

A la fin de la semaine, j’étais entièrement guéri. 

La Vie éternelle, qui ne se limite pas à l’au-delà, est toujours présente et peut progressivement être démontrée.

Après une grande lutte mentale, j’ai vu que j’avais le choix : continuer à me sentir blessée, ou aimer et pardonner radicalement à mon père.

Les mots ne sauraient décrire ma gratitude pour cette guérison. Mais je suis encore plus reconnaissante d’avoir appris que prier n’a pas à paraître obligatoire ou ardu.

Nous sommes heureux d’annoncer la toute première traduction de La Chaire et la Presse (titre original anglais : Pulpit and Press ) de Mary Baker Eddy. Ce recueil d’articles inclut un sermon qu’elle a rédigé à l’occasion de la dédicace de l’édifice original de L’Eglise Mère, en 1894.