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Il nous est possible d’acquérir une conception plus spirituelle de la nourriture. Après tout, c’est grâce à la présence nourrissante de l’Esprit que nous sommes en bonne santé, heureux et beaux.

Je souhaite partager ma propre guérison de l’anxiété, car nous pouvons faire plus que simplement gérer ce problème. La guérison est possible en raison de notre nature-même.

Sans hésitation, sans me demander s’il pouvait y avoir une cause à cela, j’ai rejeté la possibilité que l’une des idées spirituelles de Dieu, et donc moi, puisse être gouvernée par autre chose que le bien et ce qui est juste.

Notre secrétaire, Laurie Richardson, a informé le Conseil des directeurs de son intention de quitter son poste de secrétaire et de retourner chez elle, dans le Missouri (Etats-Unis). Nous avons tous été vraiment bénis par sa compréhension métaphysique, par son amour évident pour L’Eglise Mère, par sa sollicitude vis-à-vis des membres et par sa direction du secrétariat, à la tête duquel elle a servi au cours des trois dernières années.

J’ai passé un moment à considérer le fait que l’homme est un avec Dieu, comme Jésus l’exprimait dans sa vie et par ses œuvres. Je me suis aussi réjouie du fait que chacun d’entre nous entretient cette même belle relation avec l’unique Père-Mère divin.

Notre activité est soutenue par Dieu, et je savais que la préparation de l’examen n’avait rien à voir avec la capacité personnelle à lire ou à se souvenir des différents cours, mais qu’il s’agissait d’exprimer Dieu.

Même les histoires bibliques les plus connues apportent un éclairage nouveau et pertinent. Ces idées nous protègent des peurs, ou « lions », que nous rencontrons dans la vie quotidienne.

J’ai commencé à réaliser que voir la souffrance des autres et ne rien faire pour les aider est loin d’obéir à l’instruction de Christ Jésus, qui est d’aimer notre prochain comme nous-mêmes.

Une église prospère lorsque ses membres surmontent individuellement l’inertie et la passivité. C’est ce qui s’est produit dans mon église filiale.

Les mots ne sauraient décrire ma gratitude pour cette guérison. Mais je suis encore plus reconnaissante d’avoir appris que prier n’a pas à paraître obligatoire ou ardu.