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« Tu es mon Dieu » ! (psaume 143:10). Un jour, en lisant ceci, j’ai été surpris par la profondeur du sens de cette phrase qui a jailli de la Bible.

J’ai décidé d’identifier toutes les pensées négatives et erronées et de les nier, et de n’accepter que la réalité du bien que Dieu dispense constamment à Sa création.

Je savais que le traitement par la Science Chrétienne est complet et permanent, c’est pourquoi je voulais m’en remettre à la Science Chrétienne.

À ce moment-là, j’ai décidé de ne pas jouer ce que je pensais être « la carte de la veuve ». C’était l’occasion de démontrer que j’étais complète, que je disposais de toutes les qualités divines, car elles viennent de Dieu.

Grâce à la prière, nous percevons la totalité infinie de l’Amour divin et l’intégrité de chacun de nous en tant qu’expression spirituelle de l’Amour. Nos malheurs passés perdent alors toute réalité à nos yeux, et nous ressentons à la place la vérité qui guérit.

La prière m’a révélé que, puisque Dieu est la source de toute abondance, de tout bien, la suggestion de la pénurie n’a aucune réalité ni aucun pouvoir de limiter l’expression du bien dans ma vie.

La pièce était remplie par l’Amour divin, tout comme ma pensée. Il n’y avait pas de place pour autre chose.

Bien plus qu’un texte à apprendre et à réciter à l’église, la prière du Seigneur est une affirmation impartiale, inclusive et universelle de la réalité divine qui répond à tous les besoins humains.

Je ne pouvais ni sentir ni même voir où l’abeille m’avait piqué. La marque avait totalement disparu.

J’ai été choquée par le nombre de sans-abri dans ma ville. J’ai décidé de prier pour savoir comment leur venir en aide.