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Je savais que j’avais un droit divin à la santé et à la liberté, alors j’ai décidé de refuser avec force le mensonge qui affirmait que je pouvais être malade.

Là où les limites de notre vie humaine semblent nous définir, là se trouve la réalité illimitée de l’Esprit, Dieu, qui englobe et élève l’expérience humaine.

Je suis sûre que chaque manifestation de haine nourrit sa propre histoire pour se justifier, mais en réalité elle n’en a aucune.

Grâce à la domination que Dieu nous donne, nous sommes capables de refuser les démarcheurs mentaux qui tentent de nous « vendre » des suggestions, telles que la maladie ou la corruption, qui nuisent à notre paix, à notre sécurité et à notre santé.

Je savais que ces faits spirituels étaient vrais non seulement pour moi mais pour chaque fils et chaque fille de Dieu. Dans ce moment d’éveil spirituel, j’ai ressenti de manière indéniable un pouvoir, que je savais être le Christ, la Vérité.

J’ai su tout de suite que ces policiers, étant spirituels, ne pouvaient rien faire d’autre que ce que Dieu, l’Esprit, leur commandait de faire.

La loi divine est puissante, infaillible et irréversible. A chaque instant, nous pouvons faire confiance à l’Eternel Dieu, sous l’autorité duquel se trouve tout ce qui existe, et qui prend toujours tendrement soin de Ses enfants bien-aimés.

Chers membres et amis, Nous avons le plaisir de vous informer que Moji George, C. S.

Mary Baker Eddy a prévu la continuité de son enseignement en instituant le Conseil d’Instruction. L’article XXIX, section 2, du Manuel de l’Eglise, stipule : « Les élèves de scientistes chrétiens loyaux qui le désirent peuvent adresser une demande au Conseil d’instruction pour suivre l’enseignement ; et s’ils ont pratiqué la guérison par la Science Chrétienne avec succès pendant trois ans et fournissent la justification qu’ils remplissent les conditions nécessaires, ils peuvent être admis dans la classe Normale.

Sachant que je suis toujours sous la protection de Dieu, l’Amour divin, j’ai aussitôt contesté mentalement cette maladie dont l’image s’imposait.