Témoignages
Quand notre chiot, un Labrador jaune, a eu un grave problème de vue, j’ai tout de suite eu l’idée de prier pour elle. C’était il y a une quinzaine d’années environ.
J'étais victime d'une maladie de peau dénommée gale qui est apparue quelques mois après ma naissance. Lorsque j'ai eu l'âge de l'école, j'étais parfois triste de voir mes amis se moquer de moi.
Dans la famille de mon épouse, il existait une tradition selon laquelle manger de la viande de chèvre est un crime qui peut entraîner des conséquences graves. Cette « règle » est liée à l'histoire familiale selon laquelle un des ancêtres, qui avait disparu dans la forêt, avait été sauvé par une chèvre.
Au moment où je croyais jouir d'une retraite paisible, après plus de trente ans de travail dans la banque où j'avais gravi la plupart des échelons au niveau national, je me suis trouvé subitement déstabilisé par une maladie terrifiante. En effect, en avril 2007, j'ai été fortement secoué par une fièvre, puis des douleurs sont apparues.
Au cours des siécles, des penseurs exceptionnels comme René Descartes ou George Berkeley ont exposé leurs doutes quant à l'existence de la matiére, mais personne n'a jamais été aussi hardi que Mary Baker Eddy quand elle a affirmé: « Il n'y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matiére. » (Science et Santé avec la Clef des Écritures, p.
À une certaine période, il y a un an, j'étais prise d'éternuements après avoir balayé la maison ou après avoir été en contact avec la poussière. Quelques heures après, je semblais susceptible d'attraper des rhumes.
J'aime la manière dont Mary Baker Eddy associe la maladie, le péché, le chagrin et la mort à « un sens mortel d'absence de la lumière », une perception mortelle (voir Science et Santé avec la Clef des Écritures, p. 215).
La vie de Jésus-Christ a été caractérisée par la réalisation de guérisons spectaculaires de maladies de toutes sortes. La Science Chrétienne, découverte par Mary Baker Eddy, propose une réponse révolutionnaire et satisfaisante aux interrogations que suscitent ces guérisons.
En 2005, un jour au lycée, j'ai eu une très forte douleur au ventre, et j'ai dû quitter la classe. Le personnel du lycée s'est inquiété et a recommandé que j'aille voir un médecin, ce que nous avons fait.
En l'an 2001, je fus victime d'un accident de voiture, d'où je sortis avec une cheville presque entièrement sectionnée. Lorsqu'on me transporta à l'hôpital, les médecins dirent que, compte tenu de la gravité de la fracture à ce niveau-là, je ne pourrais plus remarcher comme avant, et que je serais handicapée pour le restant de ma vie.