Témoignages
C'est une telle joie d'attester le pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne que je désire faire part des bénédictions dont ma famille et moi-même avons été les objets. Une semaine avant la date prévue pour la naissance d'un enfant, une double fenêtre bien lourde placée très haut se décrocha et tomba sur ma tête, me jetant à terre.
A la page 167 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mrs. Eddy écrit: « Ce n'est qu'en s'appuyant radicalement sur la Vérité qu'on peut réaliser le pouvoir scientifique qui guérit.
En 1917, pendant la Guerre mondiale, j'eus un genou grièvement blessé par des grenades à main. Depuis ce moment et jusqu'à ma sortie de l'hôpital militaire, on m'opéra dix à douze fois.
En janvier 1933, je tombai gravement malade; j'eus ce qu'on nomme une double pneumonie, et une très forte fièvre. J'avais refusé l'aide de la médecine, mais mon état ayant empiré, on fit venir sans mon consentement un docteur de la ville voisine, selon le désir de ma mère.
C'est avec joie et reconnaissance que je rends témoignage au pouvoir curatif et régénérateur de la Science Chrétienne. Il y a dix-neuf à vingt ans, j'étais très sceptique concernant cette nouvelle religion; pourtant je fus conduit à demander l'aide d'un praticien de la Science Chrétienne pour un membre de ma famille, qui souffrait d'un fibrome et d'autres complications; on aurait opéré immédiatement si la faiblesse du cœur n'avait pas interdit l'emploi d'un anesthésique.
Dans notre famille, la Science Chrétienne est depuis bien des années le seul docteur, et nous avons eu maintes guérisons merveilleuses. Il y a plusieurs mois, nous nous trouvions, mon mari et moi, bien loin de chez nous, lorsqu'on nous avertit par téléphone que notre fils âgé de seize ans venait de tomber malade à l'école où il était interne.
Il y a plusieurs années, j'eus recours à la Science Chrétienne pour me guérir d'un rhume des foins qui revenait tous les printemps. Cette infirmité m'était si désagréable qu'à la requête de ma famille j'avais déjà subi deux opérations qui ne m'avaient fait aucun bien.
Je suis bien heureux de connaître la Science Chrétienne, qui m'a apporté ainsi qu'à ma famille d'innombrables bénédictions; j'apprécie ce qu'elle a fait et fait encore pour l'humanité. C'est le cœur plein de gratitude que je songe à ma première expérience en Science Chrétienne.
Il y a plus de vingt ans, alors que j'étais à l'étranger, je devins graduellement malade et j'eus recours à bien traitements médicaux, qui n'eurent pas de succès. Comme la toux devenait de plus en plus pénible, j'eus le sentiment que la grande crainte dont j'avais été conscient dès mon enfance s'était réalisée: j'étais atteint de tuberculose pulmonaire.
La Science Chrétienne m'a apporté de grandes bénédictions, pour lesquelles je désire exprimer ma reconnaissance sincère. Voici plus de dix ans que ma santé et mon aptitude au travail commencèrent à baisser; malgré les efforts consciencieux de médecins en renom et de spécialistes pour les nerfs, qui firent tout ce qu'ils pouvaient, mon état empirait.