Témoignages
Il y a quelques années, j'eus un profond chagrin et une période d'anxiété qui me laissèrent bien déprimée. J'avais perdu tout courage.
C'est avec une profonde reconnaissance que je rends témoignage à l'efficacité de la Science Chrétienne pour guérir les maux qui semblent assaillir le genre humain. Voici environ deux ans que j'ai été guérie d'aigreurs et d'un empoisonnement urémique.
Le cœur plein de reconnaissance, je désire rendre témoignage au pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne, qui m'a été révélé d'une manière merveilleuse. A ma sortie de l'hôpital, le 21 octobre 1932, je ne savais que devenir.
Dans la Préface de notre livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, nous lisons ce passage: « Pour ceux qui s'appuient sur l'infini et qui en font leur soutien, aujourd'hui est gros de bienfaits » (p. vii).
Je suis reconnaissant de ce que Mary Baker Eddy, qui a découvert et fondé la Science Chrétienne, ait vu qu'il était sage d'établir Le Conseil des Conférences de la Science Chrétienne, canal par lequel cette vérité peut se répandre dans le monde pour guérir ceux qui souffrent et réformer les pécheurs. J'étais depuis cinq semaines à l'hôpital.
Je suis bien reconnaissante de toute l'aide reçue par la Science Chrétienne, aussi est-ce avec joie que je donne ce témoignage. Avant de connaître la Science, je souffrais presque continuellement; plusieurs médecins distingués m'avaient traitée, mais je n'allais pas mieux.
Il y a quelques années je fis avec plusieurs autres personnes un séjour à Boston, et je suis très reconnaissant d'avoir eu l'occasion d'y fréquenter les cultes de L'Église Mère. Parmi ce groupe, certains eurent ce qu'on nomme une conjonctivite qui tout en les faisant souffrir, leur causa beaucoup d'ennuis.
J'éprouve une profonde reconnaissance envers Dieu qui nous a merveilleusement conduits à la Science Chrétienne et nous a secourus dans la détresse. Voici seize ans environ que ma mère fut gravement atteinte de tuberculose.
La vérité de la Science Chrétienne peut être démontrée, comme j'en ai eu bien des preuves. J'ai été guéri de plusieurs graves maux physiques, parmi lesquels je citerai le desséchement d'une main et d'un bras dont j'étais tout à fait incapable de me servir, mais qui aujourd'hui, sont devenus presque normaux et ne se font jamais remarquer.
Dans mon enfance et ma jeunesse, je ne tenais pas à la religion; je vivais pour mes plaisirs et m'efforçais toujours de m'occuper de mes propres intérêts. Cependant, je contractai une maladie que la science médicale tient pour incurable dans certaines circonstances.