
Témoignages
Étant profondément reconnaissante, je désire rendre témoignage à l’efficacité curative de la Science Chrétienne. A l’âge de quatre ans, ma fillette s’était fait mal à l’œil; le moindre rayon de lumière lui causait de grandes douleurs.
La Préface de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, débute par cette phrase: « Pour ceux qui s’appuient sur l’infini et qui en font leur soutien, aujourd’hui est gros de bienfaits. » L’étude des ouvrages de notre bien-aimée Leader m’a valu d’innombrables bienfaits.
Parmi les nombreuses bénédictions reçues grâce à la Science Chrétienne, il en est une qui m’a toujours été particulièrement précieuse. Un mal de gorge contracté pendant mes couches empirait de semaine en semaine.
Je manquerais à mon devoir si je ne racontais pas au moins brièvement les merveilleuses guérisons que j’ai obtenues grâce à la Science Chrétienne. Le dernier jour de janvier 1932, dans un grave accident de motocyclette, je me fracturai une jambe et me rompis la clavicule; j’eus en outre une commotion cérébrale.
Dès ma jeunesse j’avais exercé les fonctions de sténographe en matières légales, ce qui exigeait pendant de longues heures un travail ardu; en outre j’étais oppressée par un sentiment de responsabilité touchant les membres de ma famille et moi-même. Il y a près de huit ans, je fus brusquement atteinte d’un affaissement des muscles du cou et dus renoncer à mon travail.
Par le témoignage suivant, je voudrais exprimer ma reconnaissance pour de nombreux bienfaits dus à la Science Chrétienne. A la suite d’une opération dans le nez, je contractai une pneumonie et une pleurésie.
Voici plus de vingt ans que la Science Chrétienne a été mon seul médecin et mon seul consolateur. Raconter tout ce qu’elle a fait pour moi serait impossible: il suffit de dire que je lui dois tout — santé, joie, paix et bonheur.
Il y a quelques années, je fus atteint de ce que la médecine appela une méningite aiguë, maladie que la Faculté regarde généralement comme incurable. Ma famille ressentait beaucoup de crainte, car deux de mes cousins avaient succombé à une autre forme du même mal.
A l'âge de dix ans, notre fils eut des symptômes de maladie. Je le conduisis chez plusieurs médecins, et finalement je le fis examiner à fond par un spécialiste qui diagnostiqua le « petit mal »— une forme atténuée de l'épilepsie.
Pendant mon enfance, j'étais presque toujours entre les mains des docteurs, tantôt pour une chose tantôt pour une autre, et ma vie semblait être un fardeau pour moi et pour ceux qui m'étaient chers. Lorsque des amis nous dirent qu'un changement de climat me ferait grand bien et proposèrent de m'emmener en Amérique, mes parents y consentirent.