Témoignages
La Science Chrétienne m’a beaucoup donné; et je désire que ce témoignage exprime ma reconnaissance et qu’il soit utile à d’autres. Avant de connaître la Science Chrétienne je mettais en doute la plupart des choses.
Profondément reconnaissante de ce que Dieu a entendu ma prière quand je Le cherchais, je désire rendre témoignage à Sa bonté. A l’âge de six ans, j’eus une pneumonie aiguë.
Quand mes parents commencèrent de s’intéresser à la Science Chrétienne, j’étais encore petite, de sorte que pendant plusieurs années je pus suivre l’École du dimanche de la Science Chrétienne. Au cours de mon enfance, il me fallut apprendre à étudier moi-même, pour être guérie d’indigestion à l’état aigu, d’un goitre et de nombreux maux sans gravité.
Les paroles n’expriment que très imparfaitement la gratitude que je dois à Mary Baker Eddy au sujet de la Science Chrétienne. En appliquant les enseignements exposés par elle dans Science et Santé avec la Clef des Écritures, une praticienne habitant les Antilles aida à me guérir une fois pour toutes de crises épileptiques, voici environ seize ans de cela.
Le cœur plein de reconnaissance, je désire raconter une guérison que j’ai obtenue en étudiant le livre de texte de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. Autrefois j’avais souvent des crampes d’estomac très douloureuses, suivies de vomissements, chose qui m’arrivait d’habitude peu avant un repas.
Je serai toujours reconnaissant d’avoir été très bien instruit dans les Écritures par l’église à laquelle je me rattachais autrefois. Mais ce fondement ne fut pas assez solide pour résister aux assauts du doute, de la critique et des tentations qui survinrent quand j’atteignis l’âge d’homme, et pendant une certaine péroide je fus incrédule.
Ma première guérison en Science Chrétienne date de l’époque où j’étudiais à l’université. Après des semaines de craintes pénibles, j’eus une dépression nerveuse.
C'est avec joie que j'atteste tous les bienfaits dus à la Science Chrétienne, les preuves de la sollicitude et de la protection divines. En octobre 1925, alors que je manœuvrais une poinçonneuse, je m'écrasai un doigt de la main gauche; la dernière phalange qui portait l'ongle fut tranchée et resta dans la machine.
« La lumière a resplendi sur ceux qui habitaient le pays de l'ombre de la mort. » C'est à Singapour, en 1905, que me parvint la lumière de la Science du christianisme.
Pendant toute ma vie, la Science Chrétienne a été mon seul médecin; et j'ai eu d'innombrables occasions d'en prouver l'efficacité curative, soit par mes propres efforts soit avec l'aide de praticiens de la Science Chrétienne. Un jour j'eus soudain une maladie de la peau.