Témoignages
Dès mes premières années, je n'ai connu que la Science Chrétienne. Depuis lors, elles ont été nombreuses les belles guérisons que j'ai eues ou dont je fus témoin.
Quand la Science Chrétienne me trouva, j'étais esclave de tous les prétendus plaisirs connus aux humains. Perdre ces faux désirs, ce fut pour moi une grande bénédiction.
Je suis très reconnaissante de la grande bonté que Dieu témoigna aux « enfants des hommes, » en envoyant Jésus le Christ et plus tard Mary Baker Eddy pour nous secourir et nous aider sur la route ascendante qui, partant de la matière, nous conduit aux réalités de l'être. En 1911, à l'époque où ma mère avait cinq jeunes enfants, elle s'était plongée dans la lecture d'un livre à succès; ce qui la réveilla, ce fut la pensée que, comme mère de famille, elle aurait bien voulu pouvoir s'intéresser à la Bible autant qu'à ce roman populaire.
Notre petit garçon avait trois ans lorsqu'il souffrit d'un genre de paralysie infantile. Il ne pouvait plus se tenir debout.
Pour réconforter ses frères, Joseph leur dit (Gen. 45:8): « Ce n'est pas vous qui m'avez envoyé ici, c'est Dieu.
J'ai longtemps négligé de faire connaître toutes les bénédictions que m'a values la mise en pratique journalière de la Science Chrétienne. En 1933 on me parla pour la première fois d'une religion qui peut se prouver logiquement et s'appliquer à nos problèmes.
Il y a quelques années, j'entendis parler de la Science Chrétienne pour la première fois, à l'époque où l'un de mes proches était gravement malade. Je m'étais joint à une église traditionaliste, et dès mon enfance les choses spirituelles m'avaient attiré.
C'est avec un sincère et profond sentiment de gratitude envers Dieu que j'écris ce témoignage. Il y a environ trente ans que la Science Chrétienne me fut présentée et je commençai tout de suite à fréquenter les cultes.
La logique et le caractère raisonnable de la Science Chrétienne m'attirèrent à une époque où j'avais terriblement besoin de Dieu. Quand je lus le livre de texte Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, je me rendis compte que j'apprenais au sujet de Dieu des vérités évidentes en soi, éternelles.
Un jour je laissai tomber une théière en argent et son anse d'ébène se cassa. Comme je la raccommodais, le tourne-vis glissa et pénétra dans la paume de ma main gauche.