
Témoignages
« Oui, tu fais briller ma lumière; l'Éternel, mon Dieu, éclaire mes ténèbres » (Ps. 18:29).
Il y a quelques années, mon ouïe s'altéra. A l'église, à moins de m'asseoir bien en avant, je n'entendais presque pas le Lecteur.
Il y a longtemps que j'aurais dû exprimer dans nos périodiques ma gratitude envers Dieu pour tous les bienfaits reçus grâce à l'étude et à l'application de la Science Chrétienne. Pendant mon service militaire, j'en vins à mieux apprécier le Manuel de L'Église Mère, par Mary Baker Eddy.
Les témoignages de guérison lus dans les Hérauts de la Science Chrétienne m'ont très souvent aidée et je voudrais aider autrui en écrivant le mien. Il y a quarante ans, j'eus une pneumonie et le docteur ne donnait plus d'espoir.
« Ta volonté soit faite » (Matth. 6:10).
La Science Chrétienne vint à moi en réponse à la prière. Dès ma tendre enfance j'avais cherché la vraie explication de Dieu et de Sa création.
La Science Chrétienne m'a fait tant de bien que je désire exprimer ma gratitude. Deux mois avant la naissance de mon bébé en 1918, j'eus ma première guérison, alors que je souffrais de grippe.
Depuis bien des années notre famille compte sur la Science Chrétienne pour vaincre les maux et les inharmonies de tout genre. Nous sommes spécialement heureux que mon mari, qui avait une grave maladie de cœur, ait obtenu la guérison, alors que les docteurs et les spécialistes disaient que ses jours étaient comptés.
Dans mon enfance, j'avais été gravement malade; il m'en était resté, croyait-on, un eczéma tenace, de la nervosité, des troubles digestifs et une anémie générale. Pendant une vingtaine d'années, mes parents s'efforcèrent inlassablement de me guérir; ils eurent recours aux différentes écoles de médecine.
Reconnaissant les nombreuses bénédictions que je dois à l'étude de la Science Chrétienne, j'écris ce témoignage dans l'espoir qu'il fera du bien à d'autres, car j'ai moi-même bénéficié des témoignages qui paraissent dans nos périodiques. J'entrepris l'étude de cette Science non pour être guéri physiquement, mais parce qu'elle fut recommandée à un membre de notre famille que le docteur n'arrivait pas à secourir.