Témoignages
La Science Chrétienne m'a fait tant de bien que je désire exprimer ma gratitude. Deux mois avant la naissance de mon bébé en 1918, j'eus ma première guérison, alors que je souffrais de grippe.
Depuis bien des années notre famille compte sur la Science Chrétienne pour vaincre les maux et les inharmonies de tout genre. Nous sommes spécialement heureux que mon mari, qui avait une grave maladie de cœur, ait obtenu la guérison, alors que les docteurs et les spécialistes disaient que ses jours étaient comptés.
Dans mon enfance, j'avais été gravement malade; il m'en était resté, croyait-on, un eczéma tenace, de la nervosité, des troubles digestifs et une anémie générale. Pendant une vingtaine d'années, mes parents s'efforcèrent inlassablement de me guérir; ils eurent recours aux différentes écoles de médecine.
Reconnaissant les nombreuses bénédictions que je dois à l'étude de la Science Chrétienne, j'écris ce témoignage dans l'espoir qu'il fera du bien à d'autres, car j'ai moi-même bénéficié des témoignages qui paraissent dans nos périodiques. J'entrepris l'étude de cette Science non pour être guéri physiquement, mais parce qu'elle fut recommandée à un membre de notre famille que le docteur n'arrivait pas à secourir.
Comme les témoignages de nos périodiques m'ont bien souvent aidée, j'espère que mon récit rendra service à d'autres personnes. A une certaine époque, je me fis arracher deux dents.
Il y a quelque treize ans, nous fîmes mon mari et moi un grand tour à pied dans les Montagnes Blanches du New-Hampshire. Le troisième jour nous fûmes obligés d'interrompre notre marche parce que mes genoux devenaient raides — chose assez fréquente chez ceux qui font du tourisme à pied, comme je l'appris plus tard.
Pendant la dernière guerre, alors que je servais en France, je fus rapidement guéri de douleurs extrêmes. En route dans un char d'assaut où les secousses étaient violentes, je sentis tomber sur ma tête la trappe de la tourelle; j'eus deux incisives brisées, les nerfs furent mis à nu et mes lèvres furent grièvement fendues.
La Science Chrétienne entra dans ma vie en 1910. La première chose qu'elle guérit, ce fut ma vue; on m'avait dit qu'un de mes yeux était à peu près hors d'usage et qu'il me fallait porter des lunettes pour ménager l'autre.
Il y a bien longtemps, j'eus avec un autre employé une conversation au sujet de la Science Chrétienne; il me « Cela explique toutes les questions qui me troublaient depuis des années. » Beaucoup plus tard seulement, j'entrevis la portée profonde de cette remarque.
Dans Miscellaneous Writings, avant la Préface, nous trouvons une page (p. vii) où figure un poème de Mary Baker Eddy; en voici la dernière strophe: « Mon univers, ayant sa source dans l'Esprit, Appartient au jour éternel.