
Témoignages
Quand je suis tentée de douter que je suis guidée par Dieu, je n'ai qu'à me rappeler que Sa main s'est posée sur mon enfance pour me donner ce dont j'aurais besoin beaucoup plus tard. Bien qu'ils fussent de braves gens, mes parents ne semblèrent jamais penser à Dieu d'une manière ou d'une autre et ils ne jugèrent pas nécessaire d'envoyer leurs enfants à l'École du Dimanche.
La Science Chrétienne vint à moi comme une réponse directe à ma prière. J'avais toujours aimé la Bible et je désirais ardemment connaître Dieu davantage; mais comme j'approchais de ma vingtième année, je devins mécontente de l'enseignement religieux que j'avais reçu et le critiquai.
Je désire exprimer ici ma sincère gratitude pour une guérison que j'ai eue il y a quelque temps, quand nous vivions à Boston. Un soir je devins si faible que je fus incapable d'aller travailler le lendemain.
Lorsque j'avais dix-huit ans, on croyait que je n'atteindrais jamais ma vingt et unième année parce que j'étais si maigre, et que deux de mes frères aînés étaient morts de la tuberculose. A cette époque j'avais une vie sociale très active, buvant et fumant.
« Je dis à l'Éternel: Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je mets ma confiance ! » (Ps. 91:2).
Il y a environ trente ans, une sciatique, dont j'avais souffert à plusieurs reprises, fut rapidement guérie grâce aux prières d'un praticien de la Science Chrétienne. Depuis lors j'ai eu la joie et le privilège d'étudier journellement la Science et d'éprouver ses bienfaits dans une large mesure, et j'ai un profond sentiment de gratitude à son égard.
Alors que j'étais une fillette de neuf ans, je dus passer près d'une année à l'hôpital à cause d'une carie des os aux jambes. Je subis quatre opérations, mais il n'y eut aucune amélioration.
Je suis particulièrement reconnaissante de ce que ma mère et moi fûmes acceptées comme membres de L’Église Mère en 1898. Nous eûmes le privilège de recevoir les invitations envoyées par notre bien-aimée Leader, Mrs.
Peu après avoir assisté pour la première fois à un service dans une Église du Christ, Scientiste, j’eus l’occasion de voir cette Science efficacement appliquée. Nos deux filles avaient contracté une maladie de la peau.
En 1915, désirant contribuer à l’effort de guerre, je suivis un cours de médecine et de chirurgie pour infirmières, qui se termina en 1918 peu après l’armistice. Puis je me mariai.