A la page 231 de Science et Santé avec la Clef des Écritures par Mary Baker Eddy nous lisons: « Il est inutile que l'homme cherche à faire ce que Dieu ne peut pas faire. » C'est là un des deux énoncés qui élevèrent ma pensée et changèrent complètement ma vie, alors que je lisais le livre de texte pour la première fois. C'est avec un profond sentiment de reconnaissance pour le pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne [Christian SciencePrononcer ’kristienn ’saïennce.] que j'aimerais dire ce qui arriva lorsque cette grande vérité me fut présentée à la fin de la seconde guerre mondiale.
Mon mari, revenant d'Allemagne, dit qu'il avait trouvé quelques livres sur cette Science et qu'il pensait que cela pouvait être ce que nous cherchions. N'étant pas moi-même si optimiste, je répondis que l'on m'avait aussi parlé de cette religion, mais que je ne pensais pas qu'elle fût pour nous. A cette époque j'étais très déprimée. J'étais allée dans un hôpital pour voir si on pouvait trouver la cause de l'épilepsie que j'avais eue pendant environ deux ans, mais les docteurs pouvaient faire peu de choses pour moi.
Malgré mes doutes, mon mari et moi commençâmes à lire le livre de texte, qu'un ami avait aimablement emprunté dans une salle de lecture de la Science Chrétienne. Je lus le chapitre sur la prière, qui contient ces paroles (p. 13): « Si nous prions Dieu en tant que personne corporelle, cela nous empêchera de nous défaire des craintes et des doutes humains qui accompagnent une telle croyance, et nous ne pourrons par conséquent saisir les merveilles accomplies par l'infini Amour incorporel, auquel toutes choses sont possibles. »
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
