Témoignages
Il y a maintenant plus de quarante ans que mon mari et moi avons commencé l'étude de la Science Chrétienne. Nous avons élevé une famille de six garçons en nous confiant à Dieu comme notre seul médecin, tel que la Science nous Le fait connaître.
En Angleterre, il y a de nombreuses années, je fus en proie à une anémie pernicieuse. Le docteur dit qu'il était possible que j'aie aussi la tuberculose.
Après de nombreuses années de sincère gratitude envers Dieu pour ma première guérison en Science Chrétienne, j'aimerais maintenant la partager avec les lecteurs de nos périodiques. Lorsque j'avais environ douze ans, je tombai de bicyclette contre le bord du trottoir.
J'aimerais exprimer ma gratitude pour les bénédictions que m'a apportées la Science Chrétienne et particulièrement pour la délivrance d'un bégaiement très sérieux, qui se manifesta dès que j'appris à parler. C'était à un tel point, que je pouvais rarement dire une phrase sans bégayer et j'en souffris énormément à l'école.
En 1945, une amie chère, devant qui je disais que j'aimerais être libérée de l'égoïsme, me passa Science et Santé par Mrs. Eddy.
J'ai trouvé un jour cette citation d'un poète anglais du dix-huitième siècle, Edward Young: « Ils bâtissent trop bas, ceux qui bâtissent au-dessous des étoiles. » Cela m'a rappelé une des affirmations de Mary Baker Eddy dans Miscellaneous Writings (p.
Tout Scientiste Chrétien est reconnaissant des bénédictions reçues par la Science Chrétienne et du pouvoir protecteur constant qu'elle offre. Quand il en applique les enseignements, il peut en démontrer le caractère pratique.
Il y a bien des années, avant de connaître ce qu'enseigne la Science Chrétienne, j'étais seule à la maison avec notre petite fille qui était malade et qui délirait. Dans ma grande détresse, je demandai à Dieu de me diriger.
J'aimerais, autant qu'il m'est possible de le faire, exprimer ma profonde gratitude pour la Science Chrétienne. Il me semble que j'ai vraiment commencé à vivre correctement lorsque j'ai entrepris sérieusement l'étude de cette merveilleuse Science.
Un lundi matin, à l'internat, je me réveillai tout à fait bien sauf une sensation étrange au cou. Cela ne me préoccupa en rien, car je savais que, puisque j'étais réellement l'enfant de Dieu, je ne pouvais me sentir mal.