
Témoignages
Il y a bien des années, une de nos filles, âgée de cinq ans, tomba dangereusement malade. Malgré le travail de prière d'une praticienne consacrée, l'était de l'enfant ne s'améliorait pas tout de suite et mon mari, n'étant pas Scientiste Chrétien, appela un médecin.
J'ai entendu parler de la Science Chrétienne alors que je souffrais de tuberculose. Grâce à l'étude de cette religion et au traitement métaphysique d'un praticien Scientiste Chrétien très dévoué et très patient, je fus guérie de cette maladie pulmonaire et réussis à surmonter de nombreux problèmes.
Il y a quelques années j'ai eu le privilège de servir dans une église filiale en tant que Premier Lecteur. Cette nomination m'a apporté beaucoup de joie; par reconnaissance, je fus inspiré à faire l'effort de démontrer la puissance curative de Dieu — effort que j'aurais dû faire longtemps auparavant.
Ma première guérison en Science Chrétienne, qui fut celle de la tuberculose d'une glande pour laquelle je devais être opérée, remonte à 1916. Je fus guérie en lisant Science et Santé de Mrs.
C'est avec un cœur rempli de gratitude et d'humilité que je viens relater une expérience qui, bien que paraissant a priori de peu d'importance, renferme de grandes possibilités pour la destruction d'erreurs de caractère plus importantes. A plusieurs reprises j'avais obtenu, par la prière en Science Chrétienne, la destruction de vilaines petites excroissances de chair.
Depuis trente et quelques années que j'étudie la Science Chrétienne Christian Science : Prononcer 'kristienn 'saïennce. , ma vie a connu de vastes et excellents changements.
Je suis très reconnaissante qu’une chère voisine m’ait introduite à l’étude de la Science Chrétienne il y a plus de cinquante ans. J’ai eu de nombreuses guérisons; une que je chéris en particulier est d’avoir surmonté une prédisposition aux rhumes.
Nous apprenons en Science Chrétienne que tout ce qui nous arrive est le résultat de notre façon de penser. Les conclusions mentales que nous acceptons comme vraies et réelles, se manifestent dans notre vie en tant que conditions humaines.
En 1935, suite à de nombreux événements pénibles dans mon entourage immédiat, je souffris d’une dépression. Ma détresse semblait avoir atteint son paroxysme, quand une famille, dont les membres étaient tous des étudiants de la Science Chrétienne, vint me rendre visite.
J’ai eu le privilège de fréquenter l’École du Dimanche de la Science Chrétienne dès ma plus tendre enfance. L’enseignement dispensé dans cette école aura ancré ma pensée sur le fondement de la bonté de Dieu; pour moi c’est une source de joie.