Témoignages
C'est avec un cœur rempli de gratitude et d'humilité que je viens relater une expérience qui, bien que paraissant a priori de peu d'importance, renferme de grandes possibilités pour la destruction d'erreurs de caractère plus importantes. A plusieurs reprises j'avais obtenu, par la prière en Science Chrétienne, la destruction de vilaines petites excroissances de chair.
Depuis trente et quelques années que j'étudie la Science Chrétienne Christian Science : Prononcer 'kristienn 'saïennce. , ma vie a connu de vastes et excellents changements.
Je suis très reconnaissante qu’une chère voisine m’ait introduite à l’étude de la Science Chrétienne il y a plus de cinquante ans. J’ai eu de nombreuses guérisons; une que je chéris en particulier est d’avoir surmonté une prédisposition aux rhumes.
Nous apprenons en Science Chrétienne que tout ce qui nous arrive est le résultat de notre façon de penser. Les conclusions mentales que nous acceptons comme vraies et réelles, se manifestent dans notre vie en tant que conditions humaines.
En 1935, suite à de nombreux événements pénibles dans mon entourage immédiat, je souffris d’une dépression. Ma détresse semblait avoir atteint son paroxysme, quand une famille, dont les membres étaient tous des étudiants de la Science Chrétienne, vint me rendre visite.
J’ai eu le privilège de fréquenter l’École du Dimanche de la Science Chrétienne dès ma plus tendre enfance. L’enseignement dispensé dans cette école aura ancré ma pensée sur le fondement de la bonté de Dieu; pour moi c’est une source de joie.
Ma famille entreprit l’étude de la Science Chrétienne à la suite d’une guérison que j’eus, étant tout petit. Les médecins ne pouvaient rien faire pour moi et ma tante avait recommandé à mes parents la Science Chrétienne; au bout d’un mois j’étais complètement guéri.
A la page 574 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mary Baker Eddy écrit: « L’Amour peut faire de la circonstance même, que, dans votre souffrance, vous appelez un châtiment et une affliction, un ange que vous avez reçu pour hôte sans le savoir. » Il fut un temps où je me sentais bien malheureuse, étant confrontée avec un problème de relations humaines; on m’emmena voir une praticienne de la Science Chrétienne Christian Science: Prononcer ’kristienn ’saïennce.
Quand j'avais huit ans, je vivais avec ma grand-mère dans une grande maison dont elle louait les chambres à des étudiants. Un jour, alors que je vidais les corbeilles à papier, je vis de l'argent qui traînait dans une des pièces.
Bien des gens s'accorderaient à reconnaître que Dieu est « un secours qui ne manque jamais dans la détresse » (Ps. 46:2).