
Témoignages
Quelques années après mes études universitaires, alors que je pratiquais la Science Chrétienne depuis seulement quelques mois, je travaillais en tant que moniteur dans un centre équestre qui accueillait un groupe de 21 adolescents émotionnellement instables. Il pleuvait depuis une semaine, les jeunes dans ma cabane s’étaient montrés insupportables, et j’avais un gros rhume.
Après avoir appris qu’il ne pourrait plus jouer au basket et qu’il devrait passer ses examens à l'école en écrivant de la main gauche, l’auteur a placé toute sa confiance en Dieu pour être guéri.
L’engagement pris par l’auteure d’aimer un voisin apparemment hostile, et de discerner sa véritable identité, a conduit à une guérison.
Lorsqu’on a suggéré à l’auteure qu’il pourrait être difficile pour elle de gravir les escaliers à cause de son âge, elle a considéré cela comme un mensonge au sujet de Dieu et de l’homme. Aujourd’hui, quelques années plus tard, elle se déplace aussi librement et gracieusement que jamais.
Rien ne peut nous empêcher de refléter la perfection divine.
Pendant deux jours, l’auteur a lutté contre la fièvre, des difficultés respiratoires et d’autres symptômes du coronavirus – et plus encore contre la peur. Lorsqu’il a ouvert pleinement son cœur a la Vérité divine, il n’a fallu que quelques heures pour que les symptômes disparaissent entièrement.
Lorsque je suis allée chez l’ophtalmologiste pour de nouvelles lunettes, il a examiné mes yeux et m’a dit que j’avais de toute évidence une maladie oculaire dégénérative. Il a recommandé un traitement médical dans l’espoir d’empêcher que je perde progressivement la vue.
« Je suis si reconnaissante aux moniteurs de l’école du dimanche de la Science Chrétienne qui, chaque semaine, aident tant d’enfants à connaître Dieu…»
« L’exposé scientifique de l’être » que l’on trouve dans le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy (p. 468) définit notre identité spirituelle avec force et de manière incontestable.
Comme les trois Hébreux qui sont sortis indemnes de la fournaise de Babylone, l’auteur s’est entièrement rétabli, et sans séquelles, d’une maladie dont les médecins avaient prédit qu’elle entraînerait des séquelles à vie, si tant est qu’il parvienne à en guérir.