
Témoignages
Alors que « Tu aimeras [...] ton prochain comme toi-même » était facile à dire, il semblait au début trop difficile à mettre en pratique.
En deux semaines, j’étais complètement guérie. Un ami témoin de l’incident a été étonné de constater que je n’avais aucune contusion.
Il n’était pas nécessaire de s’attarder sur les symptômes et de se demander quelle en était la cause ou combien de temps ils dureraient.
L’amour de Dieu est plus puissant que n’importe quel problème. Je comprends à présent que ce grand fait de l’être opérait dans ma pensée alors même que j’étais toujours aux prises avec la peur.
J’ai pu penser à ma mère sans aucune tristesse ni nostalgie, et cette liberté a été permanente.
Nos corps ne sont que la manifestation de notre pensée, et à mesure que la pensée se spiritualise, nous commençons à nous voir (et à voir les autres) tel que Dieu nous voit : incapable de souffrir, incorporelle et parfaite.
Je retiens de cette expérience que deux qualités sont essentielles à la guérison : l’humilité et l’obéissance.
Guérir, ce n’est pas améliorer la matière. La guérison est la révélation de notre perfection.
Après mon élection au poste de Lectrice, j’ai compris qu’il était temps d’être guérie.
L’autorité du Christ permet d’agir de manière charitable et ne peut pas engendrer la souffrance, car celle-ci ne peut pas être soutenue par le Principe infaillible, Dieu.