Quand notre fils aîné était petit, il était très joyeux et il aimait rire et sauter de plus en plus haut dans son siège gonflable alors qu’il ne marchait pas encore. Mais sa joie a disparu avec l’arrivée de rougeurs qui se sont rapidement propagées sur son corps, pratiquement de la tête aux pieds. Malgré tous nos efforts pour réconforter et soigner notre adorable bébé, la situation a empiré pendant un certain temps.
En tant que scientistes chrétiens, nous avions l’habitude de recourir à la prière pour la guérison, et dans les moments difficiles nous avions connu maintes démonstrations de l’amour et de la tendresse de Dieu. A présent, en tant que jeunes parents, nous voulions que notre fils puisse profiter de ces soins qui avaient fait leurs preuves.
Nous avons constaté que ces rougeurs s’étaient manifestées auprès de parents des deux côtés de la famille, et cela avait été une gêne considérable dans leurs activités. Dans sa petite enfance, ma mère avait souffert par intermittence d’un problème similaire pendant de nombreuses années. Elle avait fini par en guérir à l’âge adulte lorsqu’elle avait découvert la Science Chrétienne (voir Lorna D. Gerbing, Le Héraut, avril 1987).
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !