Témoignages

Ayant eu la joie d’être élevé dans une ambiance familiale de Science Chrétienne, et bénéficiant des bénédictions infinies de celle-ci depuis plus de cinquante ans, je désire exprimer humblement ma gratitude en rédigeant ce témoignage. J’ai eu de nombreuses preuves de la sollicitude et de la protection constantes de Dieu dans mon existence journalière.

Il y a environ seize ans, pendant que je chantais un rôle pénible dans une comédie musicale qui se donnait en plein air dans un théâtre-enrond, je fus atteinte de violentes crises d’asthme. Quand mon engagement prit fin, bien que les crises d’asthme eussent été guéries par le traitement en Science Chrétienne, je sentis que quelque chose s’était déchiré dans ma gorge.

J’ai été guérie de l’épilepsie par la Science Chrétienne. Je suis très heureuse d’exprimer ma profonde gratitude pour les bienfaits que j’ai reçus.

Après avoir passé un an à l’hôpital pour un pneumothorax destiné à remédier à un cas de tuberculose, on m’avait donné peu de temps à vivre. Je fus conduite à la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) par une nouvelle voisine, à un moment où je sentis que je ne pouvais continuer ainsi plus longtemps.

Lorsque j'étais à l'école en 1975, un médecin de l'infirmerie du lycée me dit que j'avais des verrues sous la plante des deux pieds et que, si je ne me faisais pas opérer, je resterais boiteux. Quand je rentrai chez moi pour les vacances cet été-là, je demandai à ma mère de me donner un traitement en Science Chrétienne.

Durant les nombreuses années où la Science Chrétienne a été mon mode de vie, plusieurs guérisons saillantes indiquent des progrès. L'une d'elles fut la guérison d'une sinusite dont je souffrais depuis l'enfance.

Il y a environ trois ans, je perdis l'usage de mon oreille gauche. Les conversations devinrent pénibles, embarrassantes.

« Les épreuves font voir la sollicitude de Dieu » ( Science et Santé de Mrs. Eddy, p.

Lorsque je lis la Bible en corrélation avec Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy, et que je médite sur le contenu de ces deux livres, tout un nouveau monde de pensée s'ouvre à moi. Par la lecture des œuvres de Mrs.

Lorsque notre unique enfant eut atteint l'âge de deux semaines, il devint évident qu'il ne pouvait garder aucun laitage. Notre médecin ne pouvait déterminer ce qui dérangeait le bébé, qui avait faim et pleurait tout le temps.