Témoignages
Je n'étudie la Science Chrétienne que depuis peu de temps, mais je puis témoigner d'une importante guérison. J'ai porté, pendant cinq ans, des lunettes qui m'avaient été prescrites par un oculiste qui dit que j'étais atteinte de myopie.
Le traitement par la Science Chrétienne peut-il guérir quelqu'un qui n'est pas un étudiant de cette Science ? Me basant sur mon expérience personnelle, je peux répondre « oui » sans équivoque. Depuis mon enfance jusqu'au début de mon adolescence, j'avais souffert sérieusement des bronches.
« Mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur. » C'est avec ces paroles de Marie dans l'Évangile de Luc (1:46, 47) que j'aimerais exprimer ma gratitude pour la tendre sollicitude de notre Père-Mère Dieu que j'ai été à même de prouver dans ma vie.
Une nuit, j'étais alors dans ma quatre-vingt-huitième année, un membre de ma famille me découvrit inconsciente, étendue sur le plancher de ma chambre à coucher. Je souffrais d'une congestion pulmonaire sérieuse et ma respiration était rauque et très difficile.
Mes études universitaires auraient été une catastrophe sans la compréhension et l'application de la Science Chrétienne. La réputation d'être une élève médiocre me poursuivait.
Je suis profondément reconnaissant au sujet d'une guérison récente en Science Chrétienne. Pendant de longues années j'avais supporté, sur mon dos, un ennuyeux fardeau sous la forme d'une vilaine excroissance anormale.
L'espoir que ce que j'ai vécu sera profitable à d'autres m'inspire à donner ce témoignage, avec vénération pour Dieu et gratitude envers Christ Jésus notre Guide, et Mary Baker Eddy et son immortelle découverte, la Science Chrétienne, sans laquelle je n'aurais pas été ce que je suis aujourd'hui. Il y a une douzaine d'années, je fus admis comme patient dans un des hôpitaux de Manille.
Ma patronne était une étudiante de la Science Chrétienne Christian Science (´kristienn ´saïennce) et elle me parla de ses enseignements. J'assistai avec elle aux réunions de témoignages du mercredi soir, mais pour moi elles ne signifiaient rien.
Nous déjeunions, un matin, ma fille et moi, lorsque celle-ci s'aperçut que ma bouche était déformée. J'essayai de boire, mais sans pouvoir y parvenir.
Un mois seulement me séparait du diplôme final décerné par l'université et pourtant, mon avenir m'apparaissait comme un pêle-mêle de rêveries et d'idées fantaisistes. La possibilité de me rendre sur la côte Est des États-Unis me passionnait et, à cet effet, je passai plusieurs semaines à dresser des plans détaillés.