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[Original en espagnol]

Lorsque j'ai connu la Science Chrétienne, je souffrais de nombreux...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 1980


Lorsque j'ai connu la Science Chrétienne, je souffrais de nombreux maux physiques dont je rendais responsable le passage des ans. J'avais accepté la croyance qu'après un certain âge, la santé décline, et je m'y étais résignée. De plus, j'étais tourmentée par une lourdeur d'esprit et je ne souhaitais pas continuer à vivre. Une amie me dit un jour: « Je connais un endroit où je vais vous conduire pour voir s'il vous plaira.» Elle m'emmena à la plus proche filiale de l'Église du Christ, Scientiste. Je m'y plus tellement que j'attendis impatiemment le service du dimanche, puis la réunion de témoignages du mercredi suivant. Je ne savais pas que des malades étaient guéris là de leurs infirmités, car je recherchais une consolation spirituelle; mais, quelques mois après, je m'aperçus que j'étais guérie du rhumatisme, de maux de tête et de sinusite.

Deux ans avant cela, j'avais remarqué qu'un côté de mon cou était différent de l'autre. Cela ne m'ennuyait pas et je n'y prêtais pas attention. Et puis, une nuit, la douleur me réveilla. Le lendemain matin, une voisine me vit et me dit: « Allez voir un médecin. Qu'est-ce que vous attendez ? » Mais je lui répondis: « Non, je n'irai pas, Dieu me guérira. » Cela se passait un jeudi. De très bonne heure, le dimanche matin, je me rendis à l'église. Je ne connaissais personne mais, comprenant que j'avais besoin d'aide, deux personnes de l'église qui prenaient le même autobus que moi me proposèrent de me présenter à une praticienne de la Science Chrétienne, ce qu'elles firent. Le lundi suivant, je me rendis chez la praticienne. Elle me parla avec beaucoup d'amour et m'expliqua que, pour Dieu, rien de mauvais ne m'était arrivé. Elle apaisa beaucoup mes craintes. Grâce à l'amour de Dieu et aux prières de la praticienne, en une vingtaine de jours j'étais parfaitement libérée. L'hypertrophie de mon cou avait disparu.

Je désire relater aussi un autre incident. Quelques années plus tard, je souffris d'une affection cutanée (bien qu'elle n'ait pas été diagnostiquée médicalement). J'avais été ennuyée au sujet d'une certaine situation. Des personnes avaient porté, contre moi, des accusations injustifiées et j'étais parfaitement innocente. L'injustice était si grande et si inattendue que je pensais ne pouvoir l'oublier, et il me semblait même très difficile de me rendre à l'église. J'allai finalement trouver la même praticienne, qui me traduisit l'article de Mary Baker Eddy intitulé: « Aimez vos ennemis » (p. 8– 13), dans Écrits divers. Ce bel article me fit voir l'erreur qui devait être corrigée dans ma pensée. Je corrigeai cette erreur par la prière et j'appris à aimer davantage. Je fus rapidement guérie de cette maladie de peau.

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