Témoignages
J’ai entendu parler de la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) pour la première fois par ma femme il y a environ six ans. Malgré mon hésitation initiale à accepter cet enseignement, j’eus très rapidement une magnifique guérison.
J’ai connu la Science Chrétienne en octobre 1971. Je traversais à cette époque une période d’angoisse.
J’ai toujours aimé Dieu et, étant enfant, je respectais la Sainte Bible, sans la comprendre. Ma mère avait l’habitude de dire que j’étais anémique, car j’étais de santé délicate.
En 1947, je dis à une dame que j’avais rencontrée pendant un voyage que je cherchais une nouvelle manière de voir sur laquelle baser ma vie. Elle sourit et me parla un peu de la Science Chrétienne — dont même le nom était nouveau pour moi.
Les mots sont insuffisants pour exprimer pleinement mon amour profond et ma vive gratitude pour les leçons que la Science Chrétienne m’a enseignées. En 1889, je dormais dans une poussette dans une pièce contiguë à celle où ma mère suivait le cours de Science Chrétienne donné par un élève de Mrs.
J'avais huit ans lorsque je fus guérie de surdité, après avoir fréquenté une École du Dimanche de la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) pendant une courte période. Les médecins avaient dit à ma mère que je n’entendrais plus jamais.
Lorsque j’avais douze ans, nous avions enfourché ensemble, mon ami et moi, une bicyclette à trois vitesses. Nous descendions une côte, lorsque je perdis l’équilibre, tandis que mon ami, qui tenait le guidon, sauta.
Il y a bien des années, alors que la médecine matérielle avait échoué, la Science Chrétienne apporta la guérison dans notre foyer. Quand notre petite fille fut âgée de trois mois, elle eut un sérieux refroidissement.
La Science Chrétienne me fut présentée à un moment où j’en avais grand besoin. J’habitais une petite ville où j’étais connue sous le nom de squelette ambulant.
Il y a plusieurs années, trois amies et moi nous décidâmes de faire des ascensions dans les Alpes pendant l’été. Nous nous entraînâmes à l’avance, pendant plusieurs mois, chaque fois que nous disposions d’un moment, nous préparant à une escalade quotidienne de huit à dix heures au minimum.