
Témoignages
Mon premier contact avec la Science Chrétienne et sa puissance curative se produisit grâce aux deux guérisons que voici. Lorsque je logeais chez ma sœur, avec sa famille (j’étais alors étudiante dans une université voisine), je fus témoin, pour la première fois, d’une guérison par la Science Chrétienne Christian Science ('kristienn 'saïennce).
Il y a environ seize ans, avant que je connusse la Science Chrétienne, un spécialiste me déclara atteint de sclérose en plaques. Il me dit en outre que j'allais devenir aveugle et que je n'en avais plus pour longtemps à vivre: de six mois à deux ans peut-être.
La Science Chrétienne m'a été d'une grande aide et m'a permis de spiritualiser ma pensée. Grâce à cet enseignement, j'ai appris comment me défendre journellement contre les suggestions affirmant qu'il existe un pouvoir différent de celui de Dieu, susceptible de nous priver de notre paix.
Au sortir de l'adolescence, je trouvais la vie de moins en moins satisfaisante et je me mis à chercher dans de nombreuses directions. La Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) fut présentée à ma mère alors qu'elle traversait une dure épreuve.
« Je vous remplacerai les années qu’[a] dévorées la sauterelle.
J’ai vu la preuve que « Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse » (Ps. 46:2) grâce à une guérison obtenue par la Science Chrétienne en 1985.
Un dimanche matin, j’entendis le soliste de mon église filiale chanter ces mots: « Lève le loquet, ouvre la porte, retourne chez ton Père et n’erre plus en vain. » La parabole de Christ Jésus sur l’enfant prodigue (voir Luc 15:11–24) faisait partie de la Leçon biblique, cette semaine-là, et ces paroles du solo constituaient le message adressé au fils.
Quand j’avais dix ans, ma mère, malade, se vit donner, par une amie, un Christian Science Sentinel. Elle sut immédiatement que la Science Chrétienne Christian Science (´kristienn ´saïennce) était ce qui avait manqué à sa vie.
Dans Non et Oui (p. 35), Mary Baker Eddy déclare: « Lorsque les luttes humaines cesseront et que les mortels céderont avec amour au dessein de l'Amour divin, il n'y aura plus de maladie, de chagrin, de péché ni de mort.
Il y a bien des années, j'ai eu une petite grosseur, sous le talon, qui me causait une douleur insupportable quand je m'appuyais dessus. A ce moment-là, j'étais serveuse et je devais rester debout de six à huit heures par jour.