Témoignages
Je suis infiniment reconnaissante à Dieu pour l’amour constant, illimité qu'Il dispense à chacun de nous, chaque jour. Grâce à Ses anges — Ses pensées spirituelles — nous pouvons détruire la crainte et toute supposition de limitation.
A propos de sa découverte de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy écrit dans Science et Santé (p. 107): « Dieu, par Sa grâce, m’avait préparée pendant de nombreuses années à recevoir cette révélation finale du divin Principe absolu de la guérison mentale scientifique.
En 1980, au cours de l’hiver, mon frère cadet s’est suicidé. Ce fut un choc terrible pour mes parents et pour moi.
Il y a quelques années, je perdis deux bébés prématurément et je connus le divorce. Après ces épreuves, je me suis retrouvée seule, dans un petit appartement, sans contact avec la famille, loin de tous les amis, sans le sou et sans emploi.
Lorsque j’étais tout nouveau dans l’étude de la Science Chrétienne, j’ai été l’objet d’un incident stupéfiant, qui a aussi bien étonné deux personnes qui en furent témoins. C’était pendant la dépression des années 30.
Chaque nouveau jalon spirituel — et ils ont été fort nombreux — me rend plus convaincue de la totalité et de la bonté de Dieu. L’étude et la pratique journalières de la Science Chrétienne ne font que renouveler cette conviction.
Tous mes amis avaient des skateboards, mais moi, je ne m’y intéressais pas tellement. Puis, un jour, un ami m’a montré toutes les figures qu’on pouvait faire en skate: fingerflip, powerslide et raildrop.
Ma famille a connu la Science Chrétienne* grâce à une guérison. Mon père souffrait d’une certaine forme d’arthrite et il lui était de plus en plus difficile de marcher ou même de se tenir debout.
J’éprouve une immense gratitude pour la façon dont la Science Chrétienne m’a fait comprendre le lien qui m’unit à Dieu. Au cours des années, ma famille et moi avons obtenu de nombreuses guérisons par la Science Chrétienne; il faut citer, parmi d’autres, la guérison d’une tendance à la migraine, d’une entorse à la cheville, de déchirures musculaires et d’une surdité très prononcée; des difficultés professionnelles ont été surmontées et des problèmes d’ordre relationnel se sont résolus.
Un jour, je voulus sortir une « chèvre » (palan pour moteur) de mon garage. Alors que j’essayais de la faire passer par-dessus une marche, le portique de l’engin glissa du vérin hydraulique et me tomba sur les mains.