Témoignages
Un Jour, Alors que je travaillais dans la cuisine, mes enfants jouaient et dansaient dans une autre pièce. Il y avait là un fourneau de fonte qui était allumé.
Il Y A plusieurs années, j'ai eu soudain très mal à un genou. Je ne pouvais plus du tout le bouger.
Enfant, Mon Mari avait chanté dans le chœur d'une église épiscopale. Quant à moi, je n'avais jamais pénétré dans une église avant d'entrer en internat à l'âge de seize ans.
Au Cours Des années, je me suis aperçue qu'une participation régulière aux activités de l'église permet de mieux comprendre et démontrer les enseignements de Christ Jésus. Les différentes tâches que j'ai accomplies pour l'église ont exigé beaucoup de temps et de prière, mais elles m'ont aussi valu joies, progrès spirituels et guérisons sans nombre.
En Regardant par la fenêtre, j'ai vu un jour de la fumée à l'horizon, derrière une colline. Comme je m'apprêtais à prévenir les pompiers, le téléphone a sonné.
Il y a de nombreuses années, après un divorce malheureux, j’ai obtenu la garde de mes deux enfants. Quand l’aîné devint trop difficile à élever, j’acceptai qu’il aille vivre chez son père jusqu’à la fin de l’année scolaire.
J’éprouve Une grande joie à faire part de quelques-unes des nombreuses guérisons qui ont résulté de mon étude de la Science Chrétienne. Avant d’entreprendre cette étude, je fumais la cigarette et subissais les conséquences de cette habitude.
La Découverte Totale de la Science Chrétienne par Mary Baker Eddy révèle la loi de Dieu qui guérit et transforme l'existence humaine. Elle démasque aussi le magnétisme animal, c'est-à-dire les pensées de doute, de confusion et de crainte, fondées sur la croyance erronée que l'homme est mortel.
Tous Deux Scientistes Chrétiens, mes parents me conduisirent à l'école du dimanche quand j'avais trois ans. J'appris très tôt à toujours m'appuyer sur Dieu.
J'ai Connu La Science Chrétienne, il y a bien des années, à l'époque où ma mère était atteinte d'un cancer. Elle avait déjà subi une opération chirurgicale, et fut terrifiée lorsqu'on l'informa qu'elle devait se faire réopérer, sinon elle allait mourir.