Je ne me sentais pas bien, alors j’ai fait une sieste, mais cela ne m’a pas aidée. J’ai alors réalisé que la sieste n’était pas une solution venant de Dieu, l’Esprit, qui nous maintient perpétuellement en bonne santé et complets. J’ai prié ainsi : « Père, que dois-je savoir pour être guérie ? »
La réponse m’a surprise. Le message de Dieu était d’arrêter de prier spécifiquement pour moi-même et de plutôt prier pour toute l’humanité. Ce faisant, j’ai été immédiatement guérie et j’ai pu continuer mes activités habituelles. J’ai réalisé plus tard que j’étais incluse moi aussi dans « toute l’humanité ».
Cette expérience m’a rappelé l’histoire de Job dans la Bible, qui multiplie les efforts pour comprendre Dieu tandis qu’il est en proie au désespoir. Grâce à ces efforts, Job a été amené à prier pour ses amis. Puis il a été guéri. Nos prières doivent véritablement être puissantes puisque Dieu nous demande de prier pour les autres. Et ces prières qui incluent le monde entier nous guérissent également !
Dans un statut intitulé « Vigilance face au devoir », dans le Manuel de L’Eglise Mère, Mary Baker Eddy souligne le devoir qui s’impose aux membres de l’Eglise du Christ, Scientiste, de dépasser le cadre de leur propre vie et de leurs propres préoccupations et d’inclure l’humanité tout entière dans leurs prières (voir p. 42). Cette guérison m’a rappelé qu’il était de ma responsabilité de membre de L’Eglise Mère de remplir fidèlement ce devoir.
Blanche Sabini
Folsom, Californie, Etats-Unis
