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Comment j’ai connu la Science Chrétienne

Lorsque je n’ai plus laissé l’âge me définir

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 2023

Paru d'abord sur notre site le 24 octobre 2022


A la fin de mon adolescence, je voulais apprendre à jouer de la harpe et j’espérais devenir harpiste professionnel. Mais le chef du département de harpe du conservatoire de musique local m’a dit que j’étais trop vieux pour entreprendre cette étude et en faire mon métier.

Des années plus tard, après m’être lancé dans une autre carrière liée aux arts, j’ai rencontré une harpiste de renommée mondiale à New York. Je lui ai dit que si je l’avais rencontrée quand j’étais enfant, j’aurais commencé la harpe. Je lui ai ensuite raconté l’histoire où on m’avait refusé l’opportunité d’étudier la harpe à cause de mon âge. Elle m’a immédiatement dit que si j’arrêtais de laisser l’âge me définir, je ne serais plus jamais trop jeune ou trop vieux pour faire quoi que ce soit. Et si je faisais ça, elle me prendrait comme élève. J’ai accepté et j’ai commencé à étudier avec elle.

J’ai découvert plus tard que cette femme était scientiste chrétienne. Son encouragement à ne plus laisser l’âge me définir a été une introduction aux vérités pratiques enseignées en Science Chrétienne. Je suis reconnaissant d’avoir trouvé cette liberté, et je suis reconnaissant de la carrière épanouissante de harpiste que j’ai poursuivie ensuite.

Lorsque j’ai été libéré des définitions liées à l’âge, il a été intéressant pour moi de réfléchir à la fréquence à laquelle je me limitais au sujet de l’âge. J’en ai été stupéfait. Après qu’il est devenu naturel pour moi de réfuter les limitations liées à l’âge que je paraissais avoir, j’ai réalisé à quel point il était important que j’arrête également d’estimer les capacités des autres en fonction de leur âge. Je suis reconnaissant pour cette idée salutaire, et pour la façon dont elle a changé la façon dont je me vois moi-même et dont je vois les autres.

Des années plus tard, j’ai quitté un poste lucratif dans le domaine des arts pour travailler uniquement comme harpiste. Mais pendant mon voyage entre New York et mon nouveau domicile à San Francisco, je suis tombé gravement malade et j’ai été hospitalisé. Après dix jours, on m’a diagnostiqué une maladie en phase terminale, une maladie du sang inconnue. On m’a dit qu’il ne me restait plus que deux semaines à vivre et que je devais mettre de l’ordre dans mes affaires.

Ma voisine à New York était une praticienne de la Science Chrétienne, et je l’ai appelée pour obtenir un traitement métaphysique. Je lui ai dit que plusieurs médecins avaient la même opinion, et que j’étais en phase terminale. Elle a répondu que le maître mot était opinion. Cela a eu du sens pour moi ; je n’avais pas besoin d’accepter une opinion comme si c’était un fait.

Elle m’a aussi demandé de quoi j’avais peur, et la première chose qui est sortie de ma bouche a été : « De mourir de honte, avec une harpe et un cabas au coin d’une rue à San Francisco. » Elle a expliqué que je n’allais pas à San Francisco pour chercher de l’argent mais plutôt pour refléter les ressources de Dieu en partageant ma musique en tant que harpiste. Elle m’a en outre assuré que j’étais réceptif à l’Entendement divin, qui est un nom pour désigner Dieu, et qu’il ne me serait pas venu à l’idée de me consacrer à l’étude et à la pratique de la harpe s’il n’y avait pas eu une demande qui corresponde à ce que j’avais à offrir.

La brève conversation téléphonique depuis mon lit d’hôpital a été suivie d’un contrôle physique de routine par le personnel de l’hôpital, qui a constaté que ma température était soudainement redevenue normale – je n’avais plus de fièvre. J’ai rappelé la praticienne et, alors que je lui parlais des symptômes qui persistaient, elle m’a aidé à identifier les faits spirituels simples et compréhensibles qui leur étaient opposés, et bientôt chaque symptôme a été renversé. En 24 heures, je suis sorti de l’hôpital.

J’ai continué mon chemin vers San Francisco et, quand je suis arrivé, mon hôte m’a dit que quelqu’un qui travaillait pour un hôtel local important l’avait appelé pour lui demander s’il connaissait un harpiste qui pourrait jouer pour un événement à venir. Mon hôte avait pris la liberté de réserver pour moi et, depuis ce jour, j’ai été continuellement employé.

Une fois installé, je suis allé chaque jour à la salle de lecture de la Science Chrétienne pour lire la Leçon biblique hebdomadaire tirée du Livret trimestriel de la Science Chrétienne. Cette étude m’a amené à fréquenter l’église et à suivre le Cours Primaire de Science Chrétienne.

Je suis reconnaissant envers la Science Chrétienne et envers tous ses praticiens et ses professeurs. Je suis également heureux d’avoir l’opportunité de partager cette expérience, car c’est un puissant rappel pour moi de l’efficacité de la pratique de la Science Chrétienne. Cette déclaration puissante et démontrable du livre d’étude de la Science Chrétienne me vient à l’esprit : « ...la Vérité est réelle, et l’erreur est irréelle. Ce dernier énoncé renferme le point que vous serez le moins disposé à admettre, bien qu’il soit toujours le plus important à comprendre. » (Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 466). J’ai découvert que cet énoncé ouvre ma pensée à la compréhension qui permet de guérir et d’être guéri.

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